- Des appels au secours viennent de Horonaïm, ravage et grand désastre ! - Lire dans le contexte
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- Mon coeur gémit sur Moab : Il y a des fuyards jusqu'à Çoar, Eglath-Shelishiya. La côte de Louhith, on la monte en pleurant et un cri déchirant réveille le chemin de Horonaïm.
- Les appels au secours de Heshbôn, on les entend jusqu'à Eléalé ; leur voix porte jusqu'à Yahça, de Çoar jusqu'à Horonaïm, Eglath-Shelishiya, car même les eaux de Nimrim sont devenues un lieu désolé.
- La montée de Louhith, on la gravit tout en pleurs. A la descente de Horonaïm, on entend des appels venant du désastre.
- On monte au temple, à Divôn, sur les hauts lieux pour y pleurer. Sur le Nébo et à Madaba, Moab se lamente. Toutes les têtes sont rasées, toutes les barbes sont coupées.
- Les cris ont fait tout le tour du territoire de Moab, les lamentations vont jusqu'à Eglaïm, elles parviennent jusqu'au puits d'Elim.
- Et maintenant Moab sur Moab se lamente, ils se lamentent tous. Sur les gâteaux de raisin de Qir-Harèseth, ils gémissent, consternés.
- Et maintenant, je dis : détournez-vous de moi, que je pleure amèrement ; n'insistez pas pour me consoler de la dévastation de la fille de mon peuple.
- On crie : « Désastre sur désastre ! » Oui, tout le pays est dévasté. Soudain mon campement est dévasté, en un instant, mes tentes.
- Ainsi parle le SEIGNEUR : Au nord, des eaux grossissent, elles deviennent un torrent tumultueux ; elles submergent le pays et tout ce qui s'y trouve : la ville et ceux qui l'habitent. Les gens crient au secours ; tous les habitants du pays hurlent
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV