- Fuyez ! sauve qui peut ! Vous devenez comme Aroër dans le désert. - Lire dans le contexte
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- Pareil à un arbuste dans la steppe, il ne voit pas venir le bonheur : il hante les champs de lave du désert, une terre salée, inhabitable.
- Fuyez de Babylone, sauve qui peut ! Sinon vous périrez quand elle paiera pour sa perversion. C'est, pour le SEIGNEUR, le moment de la vengeance : il lui rend son dû.
- Ainsi, deux actes irrévocables, dans lesquels il ne peut y avoir de mensonge de la part de Dieu, nous apportent un encouragement puissant, à nous qui avons tout laissé pour saisir l'espérance proposée.
- « Ce Jour-là, celui qui sera sur la terrasse et qui aura ses affaires dans la maison, qu'il ne descende pas les prendre ; et de même celui qui sera au champ, qu'il ne revienne pas en arrière.
- Jean disait alors aux foules qui venaient se faire baptiser par lui : « Engeance de vipères, qui vous a montré le moyen d'échapper à la colère qui vient ?
- alors, ceux qui seront en Judée, qu'ils fuient dans les montagnes ;
- N'accorde pas de sommeil à tes yeux ni d'assoupissement à tes paupières.
- Du chef de choeur. De David. J'ai fait du SEIGNEUR mon refuge. Comment pouvez-vous me dire : Filez dans votre montagne, petits oiseaux !
- Desséchés par la misère et la faim, ils rongeaient la steppe, lugubre et vaste solitude.
- Comme ils le menaient dehors, ils dirent à Loth : « Sauve-toi, il y va de ta vie. Ne regarde pas derrière toi, ne t'arrête nulle part dans le District ! Fuis vers la montagne de peur de périr. »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV