- Parce que tu te confies en tes efforts et tes trésors, tu es prise. Kemosh part en exil, ses prêtres et ses chefs tous ensemble. - Lire dans le contexte
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- Malheur à toi, Moab ! Tu es perdu, peuple de Kemosh ! De ses fils on a fait des fuyards et de ses filles les captives du roi amorite Sihôn !
- Hurle, Heshbôn ! Aï est dévastée ! Criez, villes satellites de Rabba ! Revêtez le sac ! Lamentez-vous ! Errez dans les murailles ! Milkom va en exil, ses prêtres et ses chefs tous ensemble !
- Moab rougira de Kemosh comme les gens d'Israël ont rougi de Béthel, leur sécurité !
- Bel a fléchi, voici Nébo qui penche : leurs portraits sont confiés à des animaux, à des bestiaux ! Ce que vous portiez haut, le voici pris en charge, fardeau pour montures épuisées,
- Dieu lui-même te ruinera pour toujours, il te tirera, t'arrachera de la tente, il te déracinera du pays des vivants. Pause.
- C'est parce qu'ils m'ont abandonné et qu'ils se sont prosternés devant Astarté, déesse des Sidoniens, devant Kemosh, dieu de Moab et devant Milkom, dieu des fils d'Ammon, et qu'ils n'ont pas marché dans mes chemins, ne faisant pas ce qui est droit à mes yeux, selon mes lois et coutumes, comme David son père.
- Si quelqu'un veut se vanter, qu'il se vante de ceci : d'être assez malin pour me connaître, moi, le SEIGNEUR qui mets en oeuvre la bonté fidèle, le droit et la justice sur la terre. Oui, c'est cela qui me plaît — oracle du SEIGNEUR.
- Quel malheur pour toi, Moab ! Le peuple de Kemosh est perdu. Tes fils sont emmenés captifs, et tes filles prisonnières.
- Voici ton lot, la part que je te mesure — oracle du SEIGNEUR — à toi qui m'oublies pour te bercer d'illusions.
- Nul ne porte plainte selon la justice, nul ne plaide de bonne foi ; on assoit son assurance sur du vide, on parle creux, on conçoit le dommage et on enfante le méfait !
- Vous avez labouré la méchanceté et récolté l'iniquité, vous avez mangé un fruit de mensonge. Tu as mis ta confiance dans ta puissance, dans la multitude de tes guerriers.
- Aux riches de ce monde-ci, ordonne de ne pas s'enorgueillir et de ne pas mettre leur espoir dans une richesse incertaine, mais en Dieu, lui qui nous dispense tous les biens en abondance, pour que nous en jouissions.
- Autant elle s'est complu dans la gloire et le luxe, autant rendez-lui de tourment et de deuil. Puisqu'elle dit en son coeur : je trône en reine et ne suis point veuve, jamais je ne verrai le deuil,
- Mon salut et ma gloire sont tout près de Dieu ; mon rocher fortifié, mon refuge sont en Dieu.
- Il a mis dans ma bouche un chant nouveau, une louange pour notre Dieu. Beaucoup verront, ils craindront et compteront sur le SEIGNEUR :
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