- Voici comme un aigle qui monte et plane et va déployer ses ailes sur Boçra. Le coeur des guerriers d'Edom, en ce jour-là, sera pareil au coeur d'une femme en travail. - Lire dans le contexte
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- Car ainsi parle Yahvé : Voici comme un aigle qui plane et va déployer ses ailes sur Moab.
- Embouche la trompette ! Comme un aigle, le malheur fond sur la maison de Yahvé. Car ils ont transgressé mon alliance et ont été infidèles à ma Loi.
- ils sont bouleversés, pris de convulsions et de douleurs ; ils se tordent comme la femme qui accouche, ils se regardent avec stupeur, le visage en feu.
- Damas est découragée et s'apprête à la fuite, un tremblement l'a saisie angoisse et douleurs l'ont prise comme une femme en couches.
- Interrogez donc et regardez. Est-ce qu'un mâle enfante ? Pourquoi vois-je tout homme les mains sur les reins comme celle qui enfante ? Pourquoi tous les visages sont-ils devenus livides ?
- Nous avons appris la nouvelle, nos mains ont défailli, l'angoisse nous a pris, une douleur comme pour celle qui enfante.
- Voici qu'il s'avance comme les nuées, ses chars sont comme l'ouragan, ses chevaux vont plus vite que des aigles. Malheur à nous ! Nous sommes perdus !
- Yahvé suscitera contre toi une nation lointaine, des extrémités de la terre ; comme l'aigle qui prend son essor. Ce sera une nation dont la langue te sera inconnue,
- Quand les hommes se diront : Paix et sécurité ! c'est alors que tout d'un coup fondra sur eux la perdition, comme les douleurs sur la femme enceinte, et ils ne pourront y échapper.
- La première était pareille à un lion avec des ailes d'aigle. Tandis que je la regardais, ses ailes lui furent arrachées, elle fut soulevée de terre et dressée sur ses pattes comme un homme, et un coeur d'homme lui fut donné.
- Toi qui as établi ta demeure sur le Liban, ton nid parmi les cèdres, comme tu vas gémir quand des douleurs te viendront, des affres, comme à celle qui accouche !
- Que diras-tu quand ils viendront te châtier, toi qui les avais formés ? Contre toi, en tête, viendront les familiers ; alors les douleurs ne vont-elles pas te saisir comme une femme en travail ?
- Oui, j'entends les cris comme d'une femme en travail, c'est comme l'angoisse de celle qui accouche ; ce sont les cris de la fille de Sion qui s'essouffle et qui tend les mains : « Malheur à moi, je succombe sous les coups des meurtriers ! »
- Comme la femme enceinte à l'heure de l'enfantement souffre et crie dans ses douleurs, ainsi étions-nous devant ta face, Yahvé.
- C'est pourquoi mes reins sont remplis d'angoisse, des convulsions m'ont saisi comme les convulsions de la femme qui enfante ; je suis trop bouleversé pour entendre, trop troublé pour voir.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV