- Tous ceux qui les trouvaient les dévoraient ; leurs adversaires disaient : « Nous ne nous rendons pas coupables, puisqu'elles sont fautives envers le SEIGNEUR. » Le domaine de la justice et l'espoir de leurs pères, c'est le SEIGNEUR ! - Lire dans le contexte
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- Espoir d'Israël, toi qui sauves au temps de l'angoisse, pourquoi te comporter comme un étranger au pays, comme un voyageur qui fait un crochet pour y passer la nuit ?
- Ainsi parle le SEIGNEUR le tout-puissant, le Dieu d'Israël : Quand je les aurai restaurés, on dira encore cette parole dans le pays de Juda et dans ses villes : « Que le SEIGNEUR te bénisse, domaine de justice, montagne sainte ! »
- Israël était chose réservée au SEIGNEUR, prémices qui lui reviennent ; quiconque en mangeait devait l'expier : le malheur venait à sa rencontre — oracle du SEIGNEUR.
- Le chef de la garde personnelle l'avait donc pris en charge et lui avait dit : « C'est le SEIGNEUR ton Dieu qui a décrété un tel malheur contre ce lieu.
- elles que leurs acheteurs abattent impunément ; elles que l'on vend en disant “Béni soit le SEIGNEUR, me voilà riche ! ” tandis que leurs bergers n'éprouvent pour elles aucune pitié.
- Prière, de Moïse, l'homme de Dieu. Seigneur, d'âge en âge tu as été notre abri.
- Paul, apôtre du Christ Jésus, selon l'ordre de Dieu notre Sauveur et du Christ Jésus notre espérance,
- Mais je suis violemment irrité contre les nations bien établies ; alors que moi, je n'étais que faiblement irrité, elles, elles sont venues ajouter à son malheur.
- Seigneur, selon tes actes de justice, que ta colère et ta fureur se détournent de Jérusalem, ta ville, ta sainte montagne ! Car, à cause de nos péchés et des fautes de nos pères, Jérusalem et ton peuple sont objet d'insulte pour tous ceux qui nous entourent.
- Nous n'avons pas écouté tes serviteurs les prophètes qui ont parlé en ton nom à nos rois, nos princes, nos pères et tout le peuple du pays.
- Ainsi parle le SEIGNEUR le tout-puissant : Ils sont brutalisés, Israélites et Judéens, sans distinction. Leurs ravisseurs les tiennent ; ils refusent de les lâcher.
- J'abandonne ma maison, je rejette mon patrimoine ; celle que je chérissais, je la livre à la poigne de ses ennemis.
- Vous tous, animaux des champs, venez pour vous repaître, vous tous, animaux des bois :
- J'étais irrité contre mon peuple : j'avais déshonoré mon patrimoine, je les avais livrés en ta main ; mais tu ne leur as montré aucune pitié, sur le vieillard tu as fait peser ton joug avec excès.
- Et le peuple n'est pas revenu à celui qui le frappait, ils n'ont pas cherché le SEIGNEUR, le tout-puissant.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV