- Tu étais pour moi un pilon, une arme de guerre. Avec toi j'ai pilonné des nations. Avec toi j'ai détruit des royaumes. - Lire dans le contexte
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- Voici : je te dispose comme un traîneau-herse neuf et muni de crocs renforcés : tu vas triturer les montagnes et les déchiqueter, tu réduiras en bale les collines,
- Debout, foule le grain, fille de Sion ; tes cornes, je les rendrai de fer, tes sabots, je les rendrai de bronze. Tu broieras des peuples nombreux, tu voueras par interdit leur butin au SEIGNEUR, et leurs richesses au maître de toute la terre.
- Malheur à l'Assyrie, gourdin de ma colère ; ce bâton dans sa main, c'est mon indignation.
- Comment ! le marteau de toute la terre est mis en pièces, fracassé ! Comment ! Babylone est devenue un lieu désolé parmi les nations !
- Le roi se mit en colère ; il envoya ses troupes, fit périr ces assassins et incendia leur ville.
- Je bande mon arc, c'est Juda, je l'arme d'une flèche, c'est Ephraïm. Je vais exciter tes fils, Sion, — contre tes fils, Yavân — et je te brandirai tel un héros son épée.
- C'est moi qui ai fait la terre, ainsi que les hommes et les animaux qui sont sur la terre, par ma grande force et en déployant ma puissance ; je la donne à qui bon me semble.
- Ce pays tout entier deviendra un champ de ruines, une étendue désolée, et toutes ces nations serviront le roi de Babylone pendant soixante-dix ans.
- je donne ordre de mobiliser tous les peuples du nord — oracle du SEIGNEUR —, en faisant appel à Nabuchodonosor, roi de Babylone, mon serviteur, et je les amène contre ce pays, contre ses habitants — et contre toutes ces nations voisines —, je me les réserve et je les transforme pour toujours en étendues désolées qui arrachent des cris d'effroi, en champs de ruines.
- Ne sais-tu pas que depuis longtemps j'ai fait ce projet, que depuis les temps anciens je l'ai formé ? A présent, je le réalise : il t'appartient de réduire en tas de pierres les villes fortifiées.
- Le SEIGNEUR a brisé le bâton des méchants, le gourdin des dominateurs,
- Ils viennent d'un pays lointain, des extrémités du ciel, le SEIGNEUR et les instruments de sa colère, pour ravager toute la contrée.
- Est-ce que le pic se vante aux dépens de celui qui s'en sert pour tailler ? Est-ce que la scie se grandit aux dépens de celui qui la met en mouvement ? Comme si le gourdin faisait mouvoir celui qui le brandit, comme si le bâton soulevait celui qui n'est pas de bois ! »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV