- Il m'a dévorée, il m'a sucée, Nabuchodonosor, roi de Babylone, il m'a laissée comme un plat léché. Comme un monstre, il m'a engloutie, il s'est rempli le ventre de ma moelle et m'a rejetée. - Lire dans le contexte
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- Israël était une brebis isolée, des lions l'ont pourchassée. En premier, le roi d'Assyrie l'a entamée. Ensuite, Nabuchodonosor, roi de Babylone l'a achevée jusqu'aux os.
- Je sévis contre Bel, à Babylone, je lui retire de la bouche ce qu'il dévore. Les nations n'afflueront plus vers lui ; la muraille même de Babylone tombe.
- La fortune qu'il avait avalée, la voilà vomie : à son ventre, Dieu la fera rejeter.
- Voici que le SEIGNEUR dévaste la terre et la ravage, il en bouleverse la face, il en disperse les habitants,
- Tous ceux qui les trouvaient les dévoraient ; leurs adversaires disaient : « Nous ne nous rendons pas coupables, puisqu'elles sont fautives envers le SEIGNEUR. » Le domaine de la justice et l'espoir de leurs pères, c'est le SEIGNEUR !
- En la neuvième année de Sédécias, roi de Juda, au dixième mois, Nabuchodonosor, roi de Babylone, arriva avec toutes ses troupes devant Jérusalem et investit la ville.
- Malheureux êtes-vous, scribes et Pharisiens hypocrites, vous qui fermez devant les hommes l'entrée du Royaume des cieux ! Vous-mêmes en effet n'y entrez pas, et vous ne laissez pas entrer ceux qui le voudraient !
- Depuis toujours, Ninive était comme un réservoir aux eaux abondantes. Et les voilà qui s'échappent ! Tenez bon, tenez ferme ! Mais aucun ne se retourne !
- Une troupe de choc t'attaque de front. Monte la garde à la forteresse, fais le guet au chemin de ronde, tiens ferme, bande toute ton énergie !
- Ecoutez ceci, vous qui vous acharnez sur le pauvre pour anéantir les humbles du pays,
- Eh bien, prononce un oracle ; tu diras : Ainsi parle le Seigneur DIEU : Oui, parce qu'on vous a dévastées et convoitées de tous côtés, parce que vous êtes devenues la possession de toutes les autres nations, parce que lèvres et langues se sont moquées de vous parmi les peuples,
- Moab était tranquille depuis son jeune âge, il reposait sur sa lie, n'ayant jamais été transvasé — autrement dit, il n'était jamais allé en exil. Aussi a-t-il conservé son goût, et son bouquet est-il intact.
- Le voilà lié, le joug formé de mes révoltes ; dans sa main elles se sont nouées ; elles sont hissées sur mon cou ; il fait chanceler mon énergie. Le Seigneur m'a livrée en de telles mains que je ne peux pas tenir debout.
- Comment ! Elle habite à l'écart, la Ville qui comptait un peuple nombreux ! elle se trouve comme veuve. Elle, qui comptait parmi les nations, princesse parmi les provinces, elle est bonne pour le bagne.
- Des victimes de la terre entière sont tombées pour Babylone ; à son tour Babylone doit tomber pour les victimes d'Israël.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV