• Nous avons appris la nouvelle, nos mains ont défailli, l'angoisse nous a pris, une douleur comme pour celle qui enfante. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Le roi de Babylone a appris la nouvelle, ses mains ont défailli, l'angoisse l'a pris, une douleur comme pour celle qui enfante.
  • Damas est découragée et s'apprête à la fuite, un tremblement l'a saisie angoisse et douleurs l'ont prise comme une femme en couches.
  • Oui, j'entends les cris comme d'une femme en travail, c'est comme l'angoisse de celle qui accouche ; ce sont les cris de la fille de Sion qui s'essouffle et qui tend les mains : « Malheur à moi, je succombe sous les coups des meurtriers ! »
  • Interrogez donc et regardez. Est-ce qu'un mâle enfante ? Pourquoi vois-je tout homme les mains sur les reins comme celle qui enfante ? Pourquoi tous les visages sont-ils devenus livides ?
  • Que diras-tu quand ils viendront te châtier, toi qui les avais formés ? Contre toi, en tête, viendront les familiers ; alors les douleurs ne vont-elles pas te saisir comme une femme en travail ?
  • Mes entrailles ! Mes entrailles ! Que je souffre ! Parois de mon coeur ! Mon coeur s'agite en moi ! Je ne puis me taire car j'ai entendu l'appel du cor, le cri de guerre.
  • Chaque fois qu'il passera, il vous saisira, car chaque matin il passera, et le jour et la nuit, et seule la terreur fera comprendre la révélation.
  • C'est pourquoi mes reins sont remplis d'angoisse, des convulsions m'ont saisi comme les convulsions de la femme qui enfante ; je suis trop bouleversé pour entendre, trop troublé pour voir.
  • Quand les hommes se diront : Paix et sécurité ! c'est alors que tout d'un coup fondra sur eux la perdition, comme les douleurs sur la femme enceinte, et ils ne pourront y échapper.
  • J'ai entendu ! Mon sein frémit. A ce bruit mes lèvres tremblent, la carie pénètre mes os, sous moi chancellent mes pas. J'attends en paix ce jour d'angoisse qui se lève contre le peuple qui nous assaille !
  • Maintenant pourquoi pousses-tu des clameurs ? N'y a-t-il pas un roi chez toi ? Tes conseillers sont-ils perdus, que la douleur t'ait saisie comme la femme qui enfante ?
  • Alors la parole de Yahvé me fut adressée en ces termes :
  • Toi qui as établi ta demeure sur le Liban, ton nid parmi les cèdres, comme tu vas gémir quand des douleurs te viendront, des affres, comme à celle qui accouche !
  • Dressez un signal à Sion ! Fuyez ! Pas d'arrêt ! Car c'est un malheur que j'amène du Nord, un immense désastre.
  • quand l'épouvante viendra sur vous comme l'orage, quand votre détresse arrivera comme un tourbillon, quand l'épreuve et l'angoisse fondront sur vous.

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV