- Toi, mon peuple, revêts le sac, roule-toi dans la poussière ! Comme pour un fils unique, fais tous les rites du deuil, une amère lamentation ! Car soudain vient sur nous le dévastateur. Israël métal inépurable - Lire dans le contexte
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- A cause de cela, revêtez le sac ! Lamentez-vous ! Hululez ! Non, elle ne se détourne pas de nous, l'ardente colère du SEIGNEUR.
- Et je répandrai sur la maison de David et sur l'habitant de Jérusalem un esprit de bonne volonté et de supplication. Alors ils regarderont vers moi, celui qu'ils ont transpercé. Ils célébreront le deuil pour lui, comme pour le fils unique. Ils le pleureront amèrement comme on pleure un premier-né.
- J'ai rendu ses veuves plus nombreuses que les grains de sable sur les plages. En plein midi, j'ai fait venir le dévastateur sur la mère du jeune guerrier ; à l'improviste, j'ai fait tomber sur elle une épouvantable confusion.
- Tu leur diras cette parole : Mes yeux fondent en larmes, nuit et jour, sans trêve : un grand désastre a brisé la vierge, mon peuple, un coup meurtrier.
- Si vous n'écoutez pas je vais me désoler dans mon coin à cause d'une telle suffisance ; mes yeux vont pleurer, pleurer, fondre en pleurs : le troupeau du SEIGNEUR part en captivité !
- Sur toutes les pistes du désert s'avancent les dévastateurs. Une épée à la solde du SEIGNEUR dévore d'un bout à l'autre de la terre : il n'y a plus de paix pour personne.
- Qu'elles se hâtent ! Que sur nous s'élève leur plainte ! Que nos yeux fondent en larmes ! Que nos paupières ruissellent !
- Je fais de Jérusalem un tas de pierres, un repaire de chacals, et des villes de Juda, des lieux désolés, vidés de leurs habitants.
- A cause du désastre de mon peuple, je suis brisé. Je suis dans le noir : la désolation me saisit !
- On entend les appels désespérés de mon peuple depuis une terre lointaine. Dans Sion n'y a-t-il pas le SEIGNEUR ? Son roi n'est-il pas chez elle ? « Pourquoi m'offensent-ils avec leurs idoles, avec ces absurdités qui viennent d'ailleurs ? »
- Ils ont bien vite fait de remédier au désastre de mon peuple, en disant : « Tout va bien ! tout va bien ! » Et rien ne va.
- On crie : « Désastre sur désastre ! » Oui, tout le pays est dévasté. Soudain mon campement est dévasté, en un instant, mes tentes.
- A ce moment-là, on dira à ce peuple et à Jérusalem : Un vent embrasé sur les pistes, dans le désert, est en route vers mon peuple, non pour vanner, non pour nettoyer :
- Tremblez, vous les indolentes, frémissez, vous les insouciantes, quittez vos vêtements, dépouillez-vous, mettez un pagne sur vos reins.
- Aussi ce péché sera-t-il pour vous comme une lézarde qui se creuse dans une haute muraille : il se produit un renflement et tout à coup, elle s'écroule.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV