- Fille de mon peuple, revêts le sac, roule-toi dans la cendre, fais un deuil comme pour un fils unique, une lamentation amère, car soudain il arrive sur nous, le dévastateur. - Lire dans le contexte
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- Aussi, revêtez-vous de sacs, lamentez-vous, poussez des hurlements, car elle ne s'est pas écartée de nous, l'ardente colère de Yahvé.
- Mais je répandrai sur la maison de David et sur l'habitant de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, et ils regarderont vers moi. Celui qu'ils ont transpercé, ils se lamenteront sur lui comme on se lamente sur un fils unique ; ils le pleureront
- Leurs veuves sont devenues plus nombreuses que le sable de la mer. Sur la mère du jeune guerrier, j'amène le dévastateur en plein midi, je fais tomber sur elle, soudain, terreur et épouvante.
- Tu leur diras cette parole : Que mes yeux versent des larmes, jour et nuit sans tarir, car d'une grande blessure est blessée la vierge fille de mon peuple, d'une plaie très grave.
- Si vous n'écoutez pas cet avertissement, je pleurerai en secret pour votre orgueil ; mes yeux laisseront couler des larmes, ils verseront des larmes, car le troupeau de Yahvé part en captivité.
- Sur tous les monts chauves du désert sont arrivés des dévastateurs car Yahvé tient une épée dévorante d'un bout du pays jusqu'à l'autre il n'y a de paix pour aucune chair.
- Vite, qu'elles entonnent sur nous une lamentation ! Que nos yeux versent des larmes, que nos paupières laissent ruisseler de l'eau !
- Je vais faire de Jérusalem un tas de pierres, un repaire de chacals ; des villes de Juda une solitude où nul n'habite.
- De la blessure de la fille de mon peuple je suis blessé, je reste accablé, l'épouvante me tient.
- Voici l'appel au secours de la fille de mon peuple, depuis une terre aux vastes étendues. « Yahvé n'est donc plus en Sion ? Son Roi n'y est-il plus ? Pourquoi m'ont-ils irrité par leurs idoles, par ces vanités venues de l'étranger ?
- Ils pansent à la légère la blessure de mon peuple en disant : « Paix ! Paix ! » alors qu'il n'y a point de paix.
- On annonce désastre sur désastre tout le pays est dévasté, d'un coup mes tentes sont détruites, mes abris, en un clin d'oeil.
- En ce temps-là on dira à ce peuple et à Jérusalem le vent brûlant des hauteurs, au désert, arrive sur la fille de mon peuple. Ce n'est ni pour vanner ni pour épurer !
- Frémissez, vous qui êtes altières, tremblez, vous qui êtes pleines de superbe ; dépouillez-vous, dénudez-vous, ceignez-vous les reins.
- à cause de cela, cette faute sera pour vous comme une brèche qui se produit, une saillie en haut d'un rempart qui soudain, d'un seul coup, vient à s'écrouler.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV