- Sans remède, la peine m'envahit, le coeur me manque. - Lire dans le contexte
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- C'est pourquoi j'ai dit : « Détournez-vous de moi, que je pleure amèrement ; n'essayez pas de me consoler de la ruine de la fille de mon peuple. »
- C'est pour cela que je pleure ; mes yeux fondent en larmes, car il est loin de moi, le consolateur qui me rendrait la vie. Mes fils sont bouleversés, car l'ennemi est trop fort. »
- Voilà pourquoi notre coeur est malade, voilà pourquoi s'obscurcissent nos yeux :
- Si je dis : « Mon lit me consolera, ma couche atténuera ma plainte »,
- Nous avons appris la nouvelle, nos mains ont défailli, l'angoisse nous a pris, une douleur comme pour celle qui enfante.
- - « Malheur à moi ! Quelle blessure ! Ma plaie est inguérissable. Et moi qui disais ce n'est que cela ma souffrance ? Je la supporterai !
- et voici : une semblance de fils d'homme me toucha les lèvres. J'ouvris la bouche pour parler, et je dis à celui qui se tenait devant moi : « Mon Seigneur, à cette apparition, l'angoisse revient sur moi et je n'ai plus de forces.
- J'ai entendu ! Mon sein frémit. A ce bruit mes lèvres tremblent, la carie pénètre mes os, sous moi chancellent mes pas. J'attends en paix ce jour d'angoisse qui se lève contre le peuple qui nous assaille !
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV