- A cause du désastre de mon peuple, je suis brisé. Je suis dans le noir : la désolation me saisit ! - Lire dans le contexte
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- Tu leur diras cette parole : Mes yeux fondent en larmes, nuit et jour, sans trêve : un grand désastre a brisé la vierge, mon peuple, un coup meurtrier.
- Raflez l'argent, raflez l'or, c'est une mine inépuisable, un monceau de toutes sortes d'objets précieux !
- Devant lui, les peuples se tordent de douleur, tous les visages s'empourprent.
- En Christ je dis la vérité, je ne mens pas, par l'Esprit Saint ma conscience m'en rend témoignage :
- Que n'ai-je au désert un gîte de caravaniers ? J'abandonnerais mon peuple, je le planterais là : tous sont des adultères, un ramassis de traîtres.
- Mon ventre ! mon ventre ! je me tords de douleur ! Les parois de mon coeur ! C'est le tumulte en moi, je ne puis me taire, car je perçois l'alerte du cor, le hourra de guerre.
- Quand il approcha de la ville et qu'il l'aperçut, il pleura sur elle.
- Moi, je n'ai pas abondé dans ton sens en hâtant le malheur, le jour fatal, je ne l'ai pas souhaité, toi, tu le sais : ce qui est sorti de ma bouche a été exprimé en ta présence.
- Je suis noire, moi, mais jolie, filles de Jérusalem, comme les tentes en poil sombre, comme les rideaux somptueux.
- Là, nos conquérants nous ont demandé des chansons, et nos ravisseurs des airs joyeux : « Chantez-nous quelque chant de Sion. »
- Je dis au roi : « Que le roi vive pour toujours ! Comment mon visage ne serait-il pas triste lorsque la ville où sont les tombeaux de mes pères est dévastée, et que ses portes sont dévorées par le feu ? »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV