- De Sion on entend une voix plaintive : « Ah ! comme nous sommes dévastés, accablés de honte ! Nous devons abandonner le pays : on a jeté bas nos habitations. » - Lire dans le contexte
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- Tu leur diras cette parole : Mes yeux fondent en larmes, nuit et jour, sans trêve : un grand désastre a brisé la vierge, mon peuple, un coup meurtrier.
- Que n'ai-je au désert un gîte de caravaniers ? J'abandonnerais mon peuple, je le planterais là : tous sont des adultères, un ramassis de traîtres.
- Et maintenant, je dis : détournez-vous de moi, que je pleure amèrement ; n'insistez pas pour me consoler de la dévastation de la fille de mon peuple.
- Leur coeur crie vers le Seigneur. Rempart de la Belle Sion, laisse couler tes larmes comme un torrent jour et nuit ; ne te donne pas de répit ; que la pupille de ton oeil ne tarisse pas.
- Mes yeux sont consumés de larmes ; mon ventre en est remué ; je suis vidé de ma force, elle est par terre, car mon peuple, cette belle, est brisé quand défaillent bambin et nourrisson sur les places de la Cité.
- Elle pleure et pleure dans la nuit : des larmes plein les joues ; pour elle pas de consolateur parmi tous ses amants. Tous ses compagnons la trahissent : ils deviennent ses ennemis.
- Si vous n'écoutez pas je vais me désoler dans mon coin à cause d'une telle suffisance ; mes yeux vont pleurer, pleurer, fondre en pleurs : le troupeau du SEIGNEUR part en captivité !
- Car la mort monte par nos fenêtres, elle pénètre dans nos belles maisons ; elle vient faucher les enfants dans la rue et les jeunes sur les places.
- Je fais de Jérusalem un tas de pierres, un repaire de chacals, et des villes de Juda, des lieux désolés, vidés de leurs habitants.
- Toi, mon peuple, revêts le sac, roule-toi dans la poussière ! Comme pour un fils unique, fais tous les rites du deuil, une amère lamentation ! Car soudain vient sur nous le dévastateur. Israël métal inépurable
- Quand il approcha de la ville et qu'il l'aperçut, il pleura sur elle.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV