- Voyez le salaire des ouvriers qui ont fait la récolte dans vos champs : retenu par vous, il crie et les clameurs des moissonneurs sont parvenues aux oreilles du Seigneur Sabaoth. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- N'exploite pas ton prochain et ne le vole pas ; la paye d'un salarié ne doit pas rester entre tes mains jusqu'au lendemain ;
- C'est encore ce qu'avait prédit Esaïe : Si le Seigneur des armées ne nous avait laissé une descendance, nous serions devenus comme Sodome, semblables à Gomorrhe.
- Je m'approcherai de vous pour le jugement. Je serai un prompt accusateur contre les magiciens et les adultères, contre les parjures, contre ceux qui exploitent l'ouvrier salarié, la veuve et l'orphelin, qui oppriment l'émigré et ne me craignent pas, dit le SEIGNEUR le tout-puissant.
- « Qu'as-tu fait ? reprit-il. La voix du sang de ton frère crie du sol vers moi.
- Malheureux celui qui construit son palais au mépris de la justice, et ses étages au mépris du droit ; fait travailler les autres pour rien, sans leur donner de salaire ;
- On le fait marcher nu, privé de vêtement, et aux affamés on fait porter des gerbes.
- Si tu le maltraites, et s'il crie vers moi, j'entendrai son cri,
- Maîtres, traitez vos esclaves avec justice et équité, sachant que vous aussi, vous avez un Maître dans le ciel.
- Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus qui crient vers lui jour et nuit ? Et il les fait attendre !
- Oui, la pierre du mur criera, et la poutre de la charpente lui répondra.
- La vigne du SEIGNEUR, le tout-puissant, c'est la maison d'Israël, et les gens de Juda sont le plant qu'il chérissait. Il en attendait le droit, et c'est l'injustice. Il en attendait la justice, et il ne trouve que les cris des malheureux.
- Si le SEIGNEUR, le tout-puissant, ne nous avait laissé quelques réchappés, nous serions comme Sodome, semblables à Gomorrhe.
- Tu n'exploiteras pas un salarié malheureux et pauvre, que ce soit l'un de tes frères ou l'un des émigrés que tu as dans ton pays, dans tes villes.
- jusqu'à faire monter vers lui le cri du pauvre ; et le cri des opprimés, lui l'entend.
- Si ma terre a protesté contre moi, si ses sillons ont fondu en larmes,
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