- Souviens-toi : tu m'as fait comme on pétrit l'argile et tu me renverras à la poussière. - Lire dans le contexte
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- Alors Yahvé Dieu modela l'homme avec la glaise du sol, il insuffla dans ses narines une haleine de vie et l'homme devint un être vivant.
- Yahvé, ne t'irrite pas à l'excès, ne garde pas à jamais le souvenir de la faute. Vois donc, nous sommes tous ton peuple.
- A la sueur de ton visage tu mangeras ton pain, jusqu'à ce que tu retournes au sol, puisque tu en fus tiré. Car tu es glaise et tu retourneras à la glaise.
- Ne suis-je pas capable d'agir envers vous comme ce potier, maison d'Israël ? - Oracle de Yahvé. Oui, comme l'argile dans la main du potier, ainsi êtes-vous dans ma main, maison d'Israël !
- et que la poussière retourne à la terre comme elle en est venue, et le souffle à Dieu qui l'a donné.
- Le potier n'est-il pas maître de son argile pour fabriquer de la même pâte un vase de luxe ou un vase ordinaire ?
- Malheur à qui discute avec celui qui l'a modelé, vase parmi les vases de terre ! L'argile dit-elle à son potier : « Que fais-tu ? ton oeuvre n'a pas de mains ! »
- Souviens-toi de moi, Yahvé, par amour de ton peuple, visite-moi par ton salut,
- Tu fais revenir le mortel à la poussière en disant : « Revenez, fils d'Adam ! »
- Jusques à quand, Yahvé, seras-tu caché ? Jusqu'à la fin ? Brûlera-t-elle comme un feu, ta colère ?
- Vois mon malheur et ma peine, efface tous mes égarements.
- Souviens-toi de ta tendresse, Yahvé, de ton amour, car ils sont de toujours.
- Comme l'eau je m'écoule et tous mes os se disloquent ; mon coeur est pareil à la cire, il fond au milieu de mes viscères ;
- Je crie au sépulcre : « Tu es mon père ! » à la vermine : « C'est toi ma mère et ma soeur ! »
- Souviens-toi que ma vie n'est qu'un souffle, que mes yeux ne reverront plus le bonheur !
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV