- Il m'a détruit de tous c?tés, et je m'en vais; il a fait dispara?tre mon espérance comme celle d'un arbre que l'on arrache. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Le ventre qui l'a porté l'oubliera; les vers mangeront son corps qui lui a été si cher; on ne se souviendra plus de lui; l'injuste sera brisé comme du bois.
- Res. J'ai vu le méchant terrible, et s'étendant comme un laurier vert;
- Voil?, il démolira, et on ne reb?tira point; s'il ferme sur quelqu'un, on n'ouvrira point.
- Etant affligés ? tous égards, mais non pas réduits enti?rement ? l'étroit; étant en perplexité, mais non pas sans secours.
- He. Le Seigneur a été comme un ennemi; il a ab?mé Isra?l, il a ab?mé tous ses palais, il a dissipé toutes ses forteresses, et il a multiplié dans la fille de Juda le deuil et l?affliction.
- Mes jours sont comme l'ombre qui décline, et je deviens sec comme l'herbe.
- Mais moi, ? Eternel! je crie ? toi, ma pri?re te prévient d?s le matin.
- Et o? seront les choses que j'ai attendues, et qui est-ce qui verra ces choses qui ont été le sujet de mon attente?
- Mes jours sont passés, mes desseins sont rompus, et les pensées de mon coeur sont dissipées.
- Il en sera ainsi des voies de tous ceux qui oublient le Dieu Fort; et l'espérance de l'hypocrite périra.
- Mes jours ont passé plus lég?rement que la navette d'un tisserand, et ils se consument sans espérance.
- Quelle est ma force, que je puisse soutenir de si grands maux? et quelle en est la fin, que je puisse prolonger ma vie?
- Ainsi Satan sortit de devant l'Eternel, et frappa Job d'un ulc?re malin, depuis la plante de son pied jusqu'au sommet de la t?te.
- Il arriva donc un jour, comme les fils et les filles de Job mangeaient et buvaient dans la maison de leur fr?re a?né,
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