- Si je crie à la violence, pas de réponse, si je fais appel, pas de justice. - Lire dans le contexte
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- Jusqu'où, SEIGNEUR, mon appel au secours ne s'est-il pas élevé ? Tu n'écoutes pas. Je te crie à la violence, tu ne sauves pas.
- Je hurle vers toi, et tu ne réponds pas. Je me tiens devant toi, et ton regard me transperce.
- j'ai beau crier et appeler au secours, il étouffe ma prière.
- Suis-je coupable — malheur à moi ! Suis-je juste — je ne lève pas la tête, gorgé de honte, ivre de ma misère.
- C'est qu'il n'est pas homme comme moi, pour que je lui réplique, et qu'ensemble nous comparaissions en justice.
- Chaque fois que j'ai à dire la parole, je dois appeler au secours et clamer : « Violence, répression ! » A cause de la parole du SEIGNEUR, je suis en butte, à longueur de journée, aux outrages et aux sarcasmes.
- Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? J'ai beau rugir, mon salut reste loin.
- Veux-tu vraiment casser mon jugement, me condamner pour te justifier ?
- Job n'a-t-il pas dit : « Je suis juste, mais Dieu me dénie justice ;
- Qui me donnera quelqu'un qui m'écoute ? Voilà mon dernier mot. Au Puissant de me répondre ! Quant au réquisitoire écrit par mon adversaire,
- Prends-tu plaisir à m'accabler, à mépriser la peine de tes mains et à favoriser les intrigues des méchants ?
- Oh ! je connais bien vos pensées et les idées que vous vous faites sur mon compte.
- Lui, qu'il défende l'homme contre Dieu, comme un humain intervient pour un autre.
- Pourtant, il n'y avait pas de violence en mes mains, et ma prière était pure.
- Certes, il me tuera. Je n'ai pas d'espoir. Pourtant, je défendrai ma conduite devant lui.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV