- Les mottes de la vallée lui sont légères; Et tous après lui suivront la même voie, Comme une multitude l'a déjà suivie. - Lire dans le contexte
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- Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seul fois, après quoi vient le jugement,
- Car, je le sais, tu me mènes à la mort, Au rendez-vous de tous les vivants.
- où l'on redoute ce qui est élevé, où l'on a des terreurs en chemin, où l'amandier fleurit, où la sauterelle devient pesante, et où la câpre n'a plus d'effet, car l'homme s'en va vers sa demeure éternelle, et les pleureurs parcourent les rues;
- L'homme n'est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n'a aucune puissance sur le jour de la mort; il n'y a point de délivrance dans ce combat, et la méchanceté ne saurait sauver les méchants.
- Une génération s'en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours.
- Ils se sont élevés; et en un instant ils ne sont plus, Ils tombent, ils meurent comme tous les hommes, Ils sont coupés comme la tête des épis.
- Elle descendra vers les portes du séjour des morts, Quand nous irons ensemble reposer dans la poussière.
- Qui seraient transportés de joie Et saisis d'allégresse, s'ils trouvaient le tombeau?
- Là ne s'agitent plus les méchants, Et là se reposent ceux qui sont fatigués et sans force;
- C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV