- Désormais, gisant, je serais au calme, endormi, je jouirais alors du repos, - Lire dans le contexte
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- Il ne me discernera plus, l'oeil qui me voyait. Tes yeux seront sur moi, et j'aurai cessé d'être.
- Soit un homme qui engendre cent fois et vit de nombreuses années, mais qui, si nombreux soient les jours de ses années, ne se rassasie pas de bonheur et n'a même pas de sépulture. Je dis : L'avorton vaut mieux que lui,
- L'un meurt en pleine vigueur, tout heureux et tranquille ;
- Ils consument leurs jours dans le bonheur, en un instant ils s'effondrent aux enfers.
- C'est moi qui le contemplerai, oui, moi ! Mes yeux le verront, lui, et il ne sera pas étranger. Mon coeur en brûle au fond de moi.
- Qu'ai-je à espérer ? Les enfers sont ma demeure. De ténèbres j'ai capitonné ma couche.
- Mais un héros meurt et s'évanouit. Quand l'homme expire, où donc est-il ?
- au pays où l'aurore est nuit noire, où l'ombre de mort couvre le désordre, et la clarté y est nuit noire.
- Ne peux-tu supporter ma révolte, laisser passer ma faute ? Car déjà me voici gisant en poussière. Tu me chercheras à tâtons : j'aurai cessé d'être.
- Tout ce que ta main se trouve capable de faire, fais-le par tes propres forces ; car il n'y a ni oeuvre, ni bilan, ni savoir, ni sagesse dans le séjour des morts où tu t'en iras.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV