- Car, je le sais, tu me mènes à la mort, Au rendez-vous de tous les vivants. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- temps où les gardiens de la maison tremblent, où les hommes forts se courbent, où celles qui moulent s'arrêtent parce qu'elles sont diminuées, où ceux qui regardent par les fenêtres sont obscurcis,
- C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière.
- Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seul fois, après quoi vient le jugement,
- Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée.
- L'homme n'est pas maître de son souffle pour pouvoir le retenir, et il n'a aucune puissance sur le jour de la mort; il n'y a point de délivrance dans ce combat, et la méchanceté ne saurait sauver les méchants.
- Les mottes de la vallée lui sont légères; Et tous après lui suivront la même voie, Comme une multitude l'a déjà suivie.
- Si ses jours sont fixés, si tu as compté ses mois, Si tu en as marqué le terme qu'il ne saurait franchir,
- Tes mains m'ont formé, elles m'ont créé, Elles m'ont fait tout entier... Et tu me détruirais!
- Qu'importe après tout? Car, j'ose le dire, Il détruit l'innocent comme le coupable.
- Le petit et le grand sont là, Et l'esclave n'est plus soumis à son maître.
- Il nous faut certainement mourir, et nous serons comme des eaux répandues à terre et qui ne se rassemblent plus; Dieu n'ôte pas la vie, mais il désire que le fugitif ne reste pas banni de sa présence.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV