- Oui, je sais que tu me fais retourner vers la mort, vers le rendez-vous de tout vivant. - Lire dans le contexte
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- Quand on redoute la montée et qu'on a des frayeurs en chemin. Et l'amandier est en fleur, et la sauterelle est pesante, et la câpre perd son goût. Tandis que l'homme s'en va vers sa maison d'éternité et les pleureurs tournent déjà dans la rue.
- A la sueur de ton visage tu mangeras ton pain, jusqu'à ce que tu retournes au sol, puisque tu en fus tiré. Car tu es glaise et tu retourneras à la glaise.
- Et comme les hommes ne meurent qu'une fois, après quoi il y a un jugement,
- Les vivants savent au moins qu'ils mourront, mais les morts ne savent rien du tout. Il n'y a plus pour eux de salaire, puisque leur souvenir est oublié.
- Aucun homme n'est maître du vent pour retenir le vent, personne n'est maître du jour de la mort. Il n'y a pas de sursis à la guerre, et la méchanceté ne sauve pas celui qui la commet.
- Les mottes du ravin lui sont douces, et, derrière lui, toute la population défile.
- Puisque ses jours sont comptés, que le nombre de ses mois dépend de toi, que tu lui fixes un terme infranchissable,
- Tes mains m'ont façonné, créé ; puis, te ravisant, tu voudrais me détruire !
- Car c'est tout un et j'ose dire : il fait périr de même l'homme intègre et le méchant.
- Là voisinent petits et grands et l'esclave est libéré de son maître.
- Nous sommes mortels et comme les eaux qui s'écoulent à terre et qu'on ne peut recueillir, et Dieu ne relève pas un cadavre : que le roi fasse donc des plans pour que le banni ne reste pas exilé loin de lui.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV