Versets semblables

  • alors, on a peur de la montée, on a des frayeurs en chemin, tandis que l'amandier est en fleur, que la sauterelle s'alourdit et que le fruit du câprier éclate ; alors que l'homme s'en va vers sa maison d'éternité, et que déjà les pleureuses rôdent dans la rue ;
  • A la sueur de ton visage tu mangeras du pain jusqu'à ce que tu retournes au sol car c'est de lui que tu as été pris. Oui, tu es poussière et à la poussière tu retourneras. »
  • Et comme le sort des hommes est de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement,
  • Car les vivants savent qu'ils mourront ; mais les morts ne savent rien du tout ; pour eux, il n'y a plus de rétribution, puisque leur souvenir est oublié.
  • Personne n'a de pouvoir sur le souffle vital pour retenir ce souffle ; personne n'a de pouvoir sur le jour de la mort ; il n'y a pas de relâche dans le combat, et la méchanceté ne sauve pas son homme.
  • Douces lui sont les mottes de la vallée et derrière lui toute la population défile. L'assistance est innombrable.
  • Puisque sa durée est fixée, que tu as établi le compte de ses mois et posé un terme qu'il ne peut franchir,
  • Tes mains, elles m'avaient étreint ; ensemble, elles m'avaient façonné de toutes parts, et tu m'as englouti.
  • C'est tout un, je l'ai bien dit : l'innocent, comme le scélérat, il l'anéantit.
  • Petit et grand, là, c'est tout un, et l'esclave y est affranchi de son maître.
  • Oui, nous mourrons, pareils à de l'eau déferlant à terre et qu'on ne peut recueillir, mais Dieu ne s'emporte pas et il a fait ses plans pour que ne soit pas banni loin de lui celui qui a été banni.

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV