- Car la terreur de Dieu fondrait sur moi, je ne tiendrais pas devant sa majesté. - Lire dans le contexte
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- Est-ce que sa majesté ne vous effraie pas ? Sa terreur ne fond-elle pas sur vous ?
- De ton effroi tremble ma chair, sous tes jugements je crains.
- Connaissant donc la crainte du Seigneur, nous cherchons à persuader les hommes. Quant à Dieu, nous sommes à découvert devant lui, et j'espère que, dans vos consciences aussi, nous sommes à découvert.
- Ah ! Quel jour ! Car il est proche, le jour de Yahvé, il arrive comme une dévastation venant de Shaddaï.
- Hurlez car il est proche, le jour de Yahvé, il arrive comme une dévastation de Shaddaï.
- sous ta menace, Dieu de Jacob, char et cheval se sont figés.
- Je ne te connaissais que par ouï-dire, mais maintenant mes yeux t'ont vu.
- Ton bras a-t-il une vigueur divine, ta voix peut-elle tonner pareillement ?
- Que, de ses yeux, il assiste à sa ruine, qu'il s'abreuve à la fureur de Shaddaï !
- Dieu lâche sur lui l'ardeur de sa colère, lance contre sa chair une pluie de traits.
- Lui-même n'est pas plus puissant que moi dans cette maison : il ne m'a rien interdit que toi, parce que tu es sa femme. Comment pourrais-je accomplir un aussi grand mal et pécher contre Dieu ?
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV