- Ai-je eu peur de la rumeur publique, ai-je redouté le mépris des familles, et me suis-je tenu coi, n'osant franchir ma porte ? - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Tu ne prendras pas le parti du plus grand nombre pour commettre le mal, ni ne témoigneras dans un procès en suivant le plus grand nombre pour faire dévier le droit,
- Eh bien ! puisque vous piétinez le faible et que vous prélevez sur lui un tribut de froment, ces maisons en pierres de taille que vous avez bâties, vous n'y habiterez pas ; ces vignes délicieuses que vous avez plantées, vous n'en boirez pas le vin.
- Alors le roi Sédécias dit à Jérémie : « J'ai peur des Judéens qui sont passés aux Chaldéens ; ceux-ci pourraient me livrer entre leurs mains et ils me maltraiteraient. »
- Alors le roi Sédécias fit en secret ce serment à Jérémie : « Par Yahvé vivant, qui nous a donné cette vie, je ne te ferai pas mourir et ne te livrerai pas aux mains de ces gens qui en veulent à ta vie. »
- Alors les princes dirent au roi : « Que cet individu soit mis à mort ! En vérité, il décourage les combattants, qui sont restés dans cette ville, et tout le peuple, en leur tenant semblables propos. Oui, cet individu ne cherche nullement la paix pour ce peuple, mais son malheur. »
- Trembler devant les hommes est un piège, qui se confie en Yahvé est en sûreté.
- Délivre ceux qu'on envoie à la mort, ceux qu'on traîne au supplice, puisses-tu les sauver !
- n'a pas égard aux princes et ne distingue pas du faible l'homme important. Car tous sont l'oeuvre de ses mains.
- livré la terre à un homme de main, pour que s'y installe le favori ;
- Ce sera tout le contraire. Si tu t'obstines à te taire quand les choses en sont là, salut et délivrance viendront aux Juifs d'un autre lieu, et toi et la maison de ton père vous périrez. Qui sait ? Peut-être est-ce en prévision d'une circonstance comme celle-ci que tu as accédé à la royauté ? »
- « Serviteurs du roi et habitants des provinces, tous savent que pour quiconque, homme ou femme, pénètre sans convocation chez le roi jusque dans le vestibule intérieur, il n'y a qu'une loi : il doit mourir, à moins qu'en lui tendant son sceptre d'or le roi ne lui fasse grâce de la vie. Et il y a 30 jours que je n'ai pas été invitée à approcher le roi ! »
- L'un des fils de Yoyada, fils d'Elyashib, le grand prêtre, était le gendre de Sânballat, le Horonite. Je le chassai loin de moi.
- Mais auparavant, le prêtre Elyashib avait été préposé aux salles du Temple de notre Dieu. Lié à Tobiyya,
- Ayant délibéré en moi-même, je tançai les grands et les magistrats en ces termes : « Quel fardeau chacun de vous impose à son frère ! » Et convoquant contre eux une grande assemblée,
- L'Israélite frappé il avait été frappé avec la Madianite se nommait Zimri, fils de Salu, prince d'une famille de Siméon.
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