- quand sa chair se consume à vue d'oeil et que se dénudent les os qui étaient cachés ; - Lire dans le contexte
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- Mes os sont collés à ma peau et à ma chair, ah ! si je pouvais m'en tirer avec la peau de mes dents !
- et que sur ta fin, ton corps et ta chair consumés, tu ne rugisses
- ne cache pas loin de moi ta face au jour où l'angoisse me tient ; incline vers moi ton oreille, au jour où je t'appelle, vite, réponds-moi !
- Eloigne de moi tes coups, sous les assauts de ta main je me consume.
- Je me taisais, et mes os se consumaient à rugir tout le jour ;
- Comme l'eau je m'écoule et tous mes os se disloquent ; mon coeur est pareil à la cire, il fond au milieu de mes viscères ;
- et il me presse, mon calomniateur s'est fait témoin, il se dresse contre moi, il m'accuse en face ;
- Il n'a de souffrance que pour son corps, il ne se lamente que sur lui-même.
- Tu le terrasses pour toujours et il s'en va ; tu le défigures, puis tu le congédies.
- Et lui s'effrite comme un bois vermoulu, ou comme un vêtement dévoré par la teigne,
- Vermine et croûtes terreuses couvrent ma chair, ma peau gerce et suppure.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV