- Qui comprendra encore les déploiements de sa nuée, le grondement menaçant de sa tente ? - Lire dans le contexte
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- Sais-tu comment il suspend les nuages en équilibre, prodige d'une science consommée ?
- Ecoutez, écoutez le fracas de sa voix, le grondement qui sort de sa bouche !
- les montagnes te voient, elles sont dans les transes ; une trombe d'eau passe, l'abîme fait entendre sa voix, en haut il tend les mains.
- Yahvé est lent à la colère, mais grand par sa puissance. L'impunité, jamais il ne l'accorde, Yahvé. Dans l'ouragan, dans la tempête il fait sa route, les nuées sont la poussière que soulèvent ses pas.
- A ta menace, elles prennent la fuite, à la voix de ton tonnerre, elles s'échappent ;
- tu bâtis sur les eaux tes chambres hautes ; faisant des nuées ton char, tu t'avances sur les ailes du vent ;
- par ton bras tu rachetas ton peuple, les enfants de Jacob et de Joseph.
- Voix de Yahvé sur les eaux le Dieu de gloire tonne ; Yahvé sur les eaux innombrables,
- un éclat devant lui enflammait grêle et braises de feu.
- Qui dénombre les nuages avec compétence et incline les outres des cieux,
- quand je mis sur elle une nuée pour vêtement et fis des nuages sombres ses langes ;
- Tout cela, c'est l'extérieur de ses oeuvres, et nous n'en saisissons qu'un faible écho. Mais le tonnerre de sa puissance, qui le comprendra ?
- A la septième fois, le serviteur dit : « Voici un nuage, petit comme une main d'homme, qui monte de la mer. » Alors Élie dit : « Monte dire à Achab : Attelle et descends, pour que la pluie ne t'arrête pas. »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV