- Que maintenant cela t'arrive, c'est toi qui fléchis. Te voici atteint, c'est l'affolement. - Lire dans le contexte
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- Pitié pour moi, pitié pour moi, vous mes amis, car la main de Dieu m'a touché.
- et vous avez oublié l'exhortation qui s'adresse à vous comme à des fils : Mon fils, ne méprise pas la correction du Seigneur, ne te décourage pas quand il te reprend.
- Oui, pensez à celui qui a enduré de la part des pécheurs une telle opposition contre lui, afin de ne pas vous laisser accabler par le découragement.
- C'est pourquoi nous ne perdons pas courage et même si, en nous, l'homme extérieur va vers sa ruine, l'homme intérieur se renouvelle de jour en jour.
- Aussi puisque, par miséricorde, nous détenons ce ministère, nous ne perdons pas courage.
- Tu t'effondres au jour de la détresse ? Ton énergie est donc bien mince !
- L'homme effondré a droit à la pitié de son prochain ; sinon, il abandonnera la crainte du Puissant.
- La terreur qui me hantait, c'est elle qui m'atteint, et ce que je redoutais m'arrive.
- Mais veuille étendre ta main, touche à ses os et à sa chair. Je parie qu'il te maudira en face ! »
- Mais veuille étendre ta main et touche à tout ce qu'il possède. Je parie qu'il te maudira en face ! »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV