- Je m'en moque ! Je ne vivrai pas toujours. Laisse-moi, car mes jours s'exhalent. - Lire dans le contexte
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- La vie m'écoeure, je ne retiendrai plus mes plaintes ; d'un coeur aigre je parlerai.
- Lui-même s'en alla au désert, à une journée de marche. Y étant parvenu, il s'assit sous un genêt isolé. Il demanda la mort et dit : « Je n'en peux plus ! Maintenant, SEIGNEUR, prends ma vie, car je ne vaux pas mieux que mes pères. »
- Ecoute ma prière, SEIGNEUR, et mon cri ; prête l'oreille à mes larmes, ne reste pas sourd, car je ne suis qu'un immigré chez toi, un hôte comme tous mes pères.
- regarde ailleurs : qu'il ait du répit et jouisse comme un saisonnier de son congé.
- Mes jours sont-ils si nombreux ? Qu'il cesse, qu'il me lâche, que je m'amuse un peu,
- Suis-je innocent ? je ne le saurai moi-même. Vivre me répugne.
- Que Dieu daigne me broyer, qu'il dégage sa main et me rompe !
- Puis, quand le soleil se mit à briller, Dieu dépêcha un vent d'est cinglant, et le soleil tapa sur la tête de Jonas... Prêt à s'évanouir, Jonas demandait à mourir ; il disait : « Mieux vaut pour moi mourir que vivre. »
- Maintenant, SEIGNEUR, je t'en prie, retire-moi la vie ; mieux vaut pour moi mourir que vivre ! »
- Quand il y a des paroles en abondance, elles font abonder la vanité : qu'est-ce que l'homme a de plus ?
- L'homme ressemble à du vent, et ses jours à une ombre qui passe.
- Il réduisit leurs jours à du vent et leurs années à l'épouvante.
- Comptez sur lui en tout temps, vous, le peuple ! Epanchez devant lui votre coeur ; Dieu est pour nous un refuge. Pause.
- J'ai fermé la bouche, je ne l'ouvrirai plus, car c'est toi qui agis.
- Pourquoi donne-t-il la lumière à celui qui peine, et la vie aux ulcérés ?
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV