- Mes jours ont couru plus vite que la navette et disparu sans espoir. - Lire dans le contexte
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- Mes jours passent, plus rapides qu'un coureur, ils s'enfuient sans voir le bonheur.
- Où donc est-elle, mon espérance ? Et mon bonheur, qui l'aperçoit ?
- Car toute chair est comme l'herbe et toute sa gloire comme fleur d'herbe ; l'herbe se dessèche et sa fleur tombe ;
- Mes jours ont fui, avec mes projets, et les fibres de mon coeur sont rompues.
- Ma demeure est arrachée, jetée loin de moi, comme une tente de bergers ; comme un tisserand j'ai enroulé ma vie, il m'a séparé de la chaîne. Du point du jour jusqu'à la nuit tu m'as achevé ;
- L'homme ! ses jours sont comme l'herbe, comme la fleur des champs il fleurit ;
- Car mes années de vie sont comptées, et je m'en vais par le chemin sans retour.
- L'intelligence en éveil, soyez sobres et espérez pleinement en la grâce qui doit vous être apportée par la révélation de Jésus Christ.
- Vous qui ne savez pas ce que demain sera votre vie, car vous êtes une vapeur qui paraît un instant, puis disparaît.
- Le soleil brûlant s'est levé : il a desséché l'herbe et sa fleur tombe, sa belle apparence est détruite. Ainsi se flétrira le riche dans ses démarches !
- rappelez-vous qu'en ce temps-là vous étiez sans Christ, exclus de la cité d'Israël, étrangers aux alliances de la Promesse, n'ayant ni espérance ni Dieu en ce monde !
- Prends garde ! Ton pied va se déchausser et ta gorge se dessécher. Mais tu dis : « Non ! Inutile ! Car j'aime les Etrangers et je veux courir après eux. »
- devant ta colère et ta fureur, car tu m'as soulevé puis rejeté ;
- Par sa propre malice le méchant est terrassé, le juste trouve un refuge dans son intégrité.
- L'homme est semblable à un souffle, ses jours sont comme l'ombre qui passe.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV