- Même si je suis dans mon droit, je reste sans réponse ; c'est mon juge qu'il faudrait supplier. - Lire dans le contexte
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- Suis-je coupable, malheur à moi ! Suis-je dans mon droit, je n'ose lever la tête, moi, saturé d'outrages, ivre de peines !
- Quant à toi, si tu recherches Dieu, si tu implores Shaddaï,
- lui qui insulté ne rendait pas l'insulte, souffrant ne menaçait pas, mais s'en remettait à Celui qui juge avec justice ;
- Ma conscience, il est vrai, ne me reproche rien, mais je n'en suis pas justifié pour autant ; mon juge, c'est le Seigneur.
- Prête l'oreille, mon Dieu, et écoute ! Ouvre les yeux et vois nos désolations et la ville sur laquelle on invoque ton nom ! Ce n'est pas en raison de nos oeuvres justes que nous répandons devant toi nos supplications, mais en raison de tes grandes miséricordes.
- Je tournai ma face vers le Seigneur Dieu pour implorer un délai de prière et de supplications dans le jeûne, le sac et la poussière.
- En larmes ils reviennent, dans les supplications je les ramène. Je vais les conduire aux cours d'eau, par un chemin tout droit où ils ne trébucheront pas. Car je suis un père pour Israël et Ephraïm est mon premier-né.
- quand celui-ci dit à Dieu : « Je fus séduit, je ne ferai plus le mal ;
- Il reconnaîtrait dans son adversaire un homme droit, et je triompherais de mon juge.
- Tes prières, il les exaucera et tu pourras acquitter tes voeux.
- Je dirai à Dieu : Ne me condamne pas, indique-moi pourquoi tu me prends à partie.
- Quant à moi, j'aurais recours à Dieu, à lui j'exposerais ma cause.
- il le pria et lui se laissa fléchir. Il entendit sa supplication et le réintégra dans sa royauté, à Jérusalem. Manassé reconnut que c'est Yahvé qui est Dieu.
- quelle que soit la prière ou la supplication de quiconque éprouve le remords de sa propre conscience, s'il étend les mains vers ce Temple,
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