- lui, qui m'écrase pour un cheveu, qui multiplie sans raison mes blessures - Lire dans le contexte
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- Et Yahvé reprit : « As-tu remarqué mon serviteur Job ? Il n'a point son pareil sur la terre : c'est un homme intègre et droit, qui craint Dieu et s'écarte du mal ! Il persévère dans son intégrité et c'est en vain que tu m'as excité contre lui pour le détruire. »
- Il ouvre en moi brèche sur brèche, fonce sur moi tel un guerrier.
- Mon juge envers moi se montre cruel ; ma plaie est incurable sans crime de ma part. »
- Le roseau froissé, il ne le brisera pas, et la mèche fumante, il ne l'éteindra pas, jusqu'à ce qu'il ait mené le Droit au triomphe :
- La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont rués sur cette maison, et elle s'est écroulée. Et grande a été sa ruine ! »
- Eh bien ! ainsi parle le Seigneur Yahvé : Je vais déchaîner un vent de tempête dans ma fureur, il y aura une pluie torrentielle dans ma colère, des grêlons dans ma rage de destruction.
- Voici un ouragan de Yahvé, sa fureur qui éclate, un ouragan se déchaîne, sur la tête des impies, il fait irruption ;
- Et je prendrai le droit comme mesure et la justice comme niveau. Mais la grêle balaiera le refuge de mensonge et les eaux inonderont la cachette ;
- Comme un feu dévore une forêt, comme la flamme embrase les montagnes,
- et mon Dieu ! Mon âme est sur moi défaillante, alors je me souviens de toi depuis la terre du Jourdain et des Hermons, de toi, humble montagne.
- voix de Yahvé, elle fracasse les cèdres, Yahvé fracasse les cèdres du Liban,
- Pour qui espère en toi, point de honte, mais honte à qui trahit sans raison.
- Tu m'emportes à cheval sur le vent et tu me dissous dans une tempête.
- Pourtant, point de violence dans mes mains, et ma prière est pure.
- Puis, s'asseyant à terre près de lui, ils restèrent ainsi durant sept jours et sept nuits. Aucun ne lui adressa la parole, au spectacle d'une si grande douleur.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV