- Lui qui déplace les montagnes à leur insu, qui les culbute en sa colère, - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Alors ce furent des éclairs, des voix et des tonnerres, et un tremblement de terre si violent qu'il n'en fut jamais de pareil depuis que l'homme est sur la terre.
- Le ciel se retira comme un livre qu'on roule, toutes les montagnes et les îles furent ébranlées.
- Quand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et de toute la connaissance, quand j'aurais la foi la plus totale, celle qui transporte les montagnes, s'il me manque l'amour, je ne suis rien.
- Il y aura de grands tremblements de terre et en divers endroits des pestes et des famines, des faits terrifiants venant du ciel et de grands signes.
- Et voici que le voile du sanctuaire se déchira en deux du haut en bas ; la terre trembla, les rochers se fendirent ;
- Jésus leur répondit : « En vérité, je vous le déclare, si un jour vous avez la foi et ne doutez pas, non seulement vous ferez ce que je viens de faire au figuier, mais même si vous dites à cette montagne : “Ote-toi de là et jette-toi dans la mer”, cela se fera.
- En ce jour-là, ses pieds se poseront sur le mont des Oliviers, qui est en face de Jérusalem, à l'orient. Le mont des Oliviers se fendra par le milieu, d'est en ouest, changé en une immense vallée. Une moitié de la montagne reculera vers le nord, et l'autre vers le sud.
- Qu'étais-tu, toi, grande montagne ? Devant Zorobabel, tu es devenue une plaine d'où il a dégagé la pierre principale aux cris de « Bravo, bravo pour elle ! »
- Les montagnes t'ont vu : elles tremblent. Une trombe d'eau est passée, l'Abîme a donné de la voix, il a tendu ses mains vers le haut.
- Il s'est arrêté, il a pris la mesure de la terre. Il a regardé et fait sursauter les nations. Les montagnes éternelles se sont disloquées, les collines antiques se sont effondrées. A lui les antiques parcours !
- Qui a jaugé dans sa paume les eaux de la mer, dans son empan toisé les cieux, tassé dans un boisseau l'argile de la terre, pesé les montagnes sur une bascule et les collines sur une balance ?
- Montagnes, pourquoi bondir comme des béliers, et vous collines, comme des cabris ?
- Dieu, quand tu sortis à la tête de ton peuple, quand tu t'avanças dans les solitudes, Pause.
- Dieu est pour nous un refuge et un fort, un secours toujours offert dans la détresse.
- On s'est attaqué au silex, on a ravagé les montagnes par la racine.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV