- Alors que je suis à bout de souffle, je me souviens et je dis : « SEIGNEUR ». Et ma prière parvient jusqu'à toi, jusqu'à ton temple saint. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Dans ta main je remets mon souffle. Tu m'as racheté, SEIGNEUR, toi le Dieu vrai.
- Ils ont rejeté ses lois ainsi que l'alliance qu'il avait conclue avec leurs pères, les exigences qu'il leur avait rappelées ; ils ont couru après des riens et les voilà réduits à rien. Ils ont suivi les nations qui les entouraient alors que le SEIGNEUR leur avait prescrit de ne pas agir comme elles.
- Oui, il est double, le méfait commis par mon peuple : ils m'abandonnent, moi, la source d'eau vive, pour se creuser des citernes, des citernes fissurées qui ne retiennent pas l'eau.
- Ne vous écartez pas, car ce serait pour suivre des néants qui ne servent à rien et qui ne peuvent délivrer, puisqu'ils ne sont que néant.
- Tous, sans exception, s'abrutissent et perdent le sens. Formé par les absurdités, on en arrive là.
- tout homme demeure hébété, interdit, tout fondeur a honte de son idole : ses statues sont fausses, il n'y a pas d'esprit en elles ;
- SEIGNEUR, ma force et mon abri, mon refuge au jour de l'angoisse, c'est vers toi que viendront les nations des confins de la terre en disant : Ce que nos pères ont reçu comme patrimoine n'est que fausseté, des absurdités toutes bonnes à rien.
- A quoi bon une statue, sculptée par l'artisan, ou fondue pour enseigner la fausseté, si l'artisan de cet ouvrage se confie en lui pour en faire des idoles muettes ?
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV