- Il dit à sa mère : « Les onze cents sicles d'argent qu'on t'a pris et à propos desquels tu as proféré une malédiction que tu m'as même répétée, eh bien, cet argent, je l'ai ; c'est moi qui l'avais pris ! » Sa mère dit : « Sois béni du SEIGNEUR, mon fils ! » - Lire dans le contexte
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- Je leur fis des reproches et les maudis ; je frappai quelques hommes parmi eux et leur arrachai les cheveux ; puis je leur fis jurer au nom de Dieu : « Ne donnez pas vos filles à leurs fils, et ne prenez pas de leurs filles pour vos fils et pour vous !
- Alors il dit : « Bénie sois-tu du SEIGNEUR, ma fille. Tu as montré ta fidélité de façon encore plus heureuse cette fois-ci que la première, en ne courant pas après les garçons, pauvres ou riches.
- Oui, je souhaiterais être anathème, être moi-même séparé du Christ pour mes frères, ceux de ma race selon la chair,
- Alors il se mit à jurer avec des imprécations : « Je ne connais pas cet homme ! » Et aussitôt un coq chanta.
- Maudit celui qui fait l'oeuvre du SEIGNEUR avec mollesse. Maudit celui qui refuse le sang à son épée.
- Qui dépouille père et mère en disant : « Ce n'est pas un péché » n'est rien d'autre qu'un complice de brigands.
- Aussi l'impie se loue d'avoir atteint son but ; ayant gagné, il bénit — non, il nargue — le SEIGNEUR.
- Et maintenant, que mon seigneur le roi daigne écouter les paroles de son serviteur. Si c'est le SEIGNEUR qui t'a excité contre moi, qu'il respire le parfum d'une offrande ! Mais si ce sont des hommes, qu'ils soient maudits devant le SEIGNEUR pour m'avoir chassé aujourd'hui et coupé du patrimoine du SEIGNEUR, en me disant : “Va servir d'autres dieux ! ”
- Saül dit : « Bénis soyez-vous du SEIGNEUR, vous qui avez eu pitié de moi !
- Samuel se rendit auprès de Saül, et Saül lui dit : « Sois béni du SEIGNEUR ! J'ai mis à exécution la parole du SEIGNEUR. »
- Quelqu'un du peuple intervint et dit : « Ton père a imposé au peuple un serment solennel, déclarant : “Maudit soit l'homme qui prendra de la nourriture aujourd'hui.” Et le peuple est épuisé. »
- Les hommes d'Israël avaient souffert, ce jour-là, car Saül avait engagé le peuple par cette imprécation : « Maudit soit l'homme qui prendra de la nourriture avant le soir, avant que je ne me sois vengé de mes ennemis. » Dans le peuple, personne n'avait donc goûté de nourriture.
- Maudissez Méroz, dit l'ange du SEIGNEUR. Maudissez de malédiction ses habitants, car ils ne sont pas venus au secours du SEIGNEUR, au secours du SEIGNEUR avec les héros.
- “Maudit, celui qui méprise son père et sa mère ! ” Et tout le peuple dira : “Amen.”
- Tu ne prononceras pas à tort le nom du SEIGNEUR, ton Dieu, car le SEIGNEUR n'acquitte pas celui qui prononce son nom à tort.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV