- Pendant qu'ils se réconfortaient, voici que des gens de la ville, des vauriens, s'attroupèrent autour de la maison et, frappant à la porte à coups redoublés, ils dirent au vieillard, maître de la maison : « Fais sortir l'homme qui est venu chez toi, que nous le connaissions. » - Lire dans le contexte
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- Les habitants de Gibéa se sont soulevés contre moi et, pendant la nuit, ils ont entouré la maison où j'étais ; moi, ils voulaient me tuer et, quant à ma concubine, ils lui ont fait violence au point qu'elle en est morte.
- Si tu entends dire que dans l'une des villes que Yahvé ton Dieu t'a données pour y habiter,
- Ils n'étaient pas encore couchés que la maison fut cernée par les hommes de la ville, les gens de Sodome, depuis les jeunes jusqu'aux vieux, tout le peuple sans exception.
- Quelle entente entre le Christ et Béliar ? Quelle association entre le fidèle et l'infidèle ?
- Aussi Dieu les a-t-il livrés à des passions avilissantes : car leurs femmes ont échangé les rapports naturels pour des rapports contre nature ;
- Or les fils d'Éli étaient des vauriens, qui ne se souciaient pas de Yahvé
- Et comme leur coeur était en joie, ils s'écrièrent : « Faites venir Samson pour qu'il nous amuse ! » On fit donc venir Samson de la prison et il fit des jeux devant eux, puis on le plaça debout entre les colonnes.
- Ainsi Sodome, Gomorrhe et les villes voisines qui se sont prostituées de la même manière et ont couru après une chair différente, sont-elles proposées en exemple, subissant la peine d'un feu éternel.
- Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront pas du Royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas ! Ni impudiques, ni idolâtres, ni adultères, ni dépravés, ni gens de moeurs infâmes,
- Depuis les jours de Gibéa, tu as péché, Israël ! ils s'en sont tenus là, et la guerre n'atteindrait pas les criminels à Gibéa ?
- Ils se sont profondément corrompus, comme aux jours de Gibéa : il se souviendra de leur faute, il châtiera leurs péchés.
- Mais les gens de Bélial sont tous comme l'épine qu'on rejette, car on ne les prend pas avec la main :
- Que Monseigneur ne fasse pas attention à ce vaurien, à ce Nabal, car il porte bien son nom : il s'appelle La Brute et vraiment il est abruti. Mais moi, ta servante, je n'avais pas vu les garçons que Monseigneur avait envoyés.
- Mais des vauriens dirent : « Comment celui-là nous sauverait-il ? » Ils le méprisèrent et ne lui offrirent pas de présent. Environ un mois après,
- Ne juge pas ta servante comme une vaurienne : c'est par excès de peine et de dépit que j'ai parlé jusqu'à maintenant. »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV