Lévitique 25:36

• Ne retire de lui ni intérêt ni profit ; c'est ainsi que tu auras la crainte de ton Dieu, et que ton frère pourra survivre à tes côtés. - Lire dans le contexte

Versets semblables

• Exode 22:25
  Si tu prends en gage le manteau de ton prochain, tu le lui rendras pour le coucher du soleil,
• Deutéronome 23:19
  Tu n'apporteras jamais dans la maison du SEIGNEUR ton Dieu, pour une offrande votive, le gain d'une prostituée ou le salaire d'un « chien », car, aussi bien l'un que l'autre, ils sont une abomination pour le SEIGNEUR ton Dieu.
• Ezéchiel 18:17
  il détourne sa main de l'injustice ; il ne prélève ni intérêt ni usure ; il accomplit mes coutumes et chemine selon mes lois : il ne mourra pas à cause de la faute de son père ; certainement il vivra.
• Ezéchiel 18:13
  il prête à intérêt et pratique l'usure... Lui, vivre ! Il ne vivra pas. Il a commis toutes ces abominations : certainement il mourra ; son sang sera sur lui.
• Ezéchiel 18:8
  il ne prête pas à intérêt ; il ne prélève pas d'usure ; il détourne sa main de l'injustice ; il rend un jugement vrai entre les hommes ;
• Lévitique 25:17
  Que nul d'entre vous n'exploite son compatriote ; c'est ainsi que tu auras la crainte de ton Dieu. Car c'est moi, le SEIGNEUR, votre Dieu.
• Ezéchiel 22:12
  Chez toi, on accepte un présent pour répandre le sang ; tu perçois des taux usuraires ; tu profites de ton prochain par la violence ; et moi, tu m'oublies ! — Oracle du Seigneur DIEU.
• Proverbes 28:8
  Qui accroît son bien par intérêt et usure l'amasse pour celui qui a pitié des faibles.
• Psaumes 15:5
  Il n'a pas prêté son argent à intérêt, ni rien accepté pour perdre un innocent. Qui agit ainsi reste inébranlable.
• Néhémie 5:15
  Avant moi, les premiers gouverneurs écrasaient le peuple et leur prenaient du pain et du vin et, en plus, quarante sicles d'argent. Leurs serviteurs aussi exerçaient leur domination sur le peuple. Mais moi-même, je n'ai pas agi ainsi, par crainte de Dieu.
• Néhémie 5:7
  En moi s'imposa la décision de faire des reproches aux notables et aux magistrats, et je leur dis : « C'est une charge que vous faites peser les uns sur les autres ! » Puis, je les convoquai à une grande assemblée.