- Vois SEIGNEUR que pour moi c'est la détresse ; mon ventre en est remué ; au fond de moi mon coeur est bouleversé, car pour désobéir, j'ai désobéi ! Dehors l'épée privait de descendance, dedans c'était comme chez la Mort. - Lire dans le contexte
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- Mes yeux sont consumés de larmes ; mon ventre en est remué ; je suis vidé de ma force, elle est par terre, car mon peuple, cette belle, est brisé quand défaillent bambin et nourrisson sur les places de la Cité.
- L'épée au-dehors, la peste et la famine à la maison ; qui est aux champs mourra par l'épée ; qui est en ville, la famine et la peste le dévoreront.
- Comme la harpe, mes entrailles frémissent sur Moab et mon coeur sur Qir-Hèrès.
- Au-dehors, l'épée leur enlèvera leurs enfants, et au-dedans régnera la frayeur ; le jeune homme aura le même sort que la vierge, le nourrisson tombera avec l'homme aux cheveux blancs.
- Mes entrailles ne cessent de fermenter, des jours de peine sont venus vers moi.
- Mon ventre ! mon ventre ! je me tords de douleur ! Les parois de mon coeur ! C'est le tumulte en moi, je ne puis me taire, car je perçois l'alerte du cor, le hourra de guerre.
- Son peuple tout entier gémit : ils cherchent du pain ; ils donnent leurs charmes contre de la nourriture, pour se ranimer. « Vois, SEIGNEUR, et regarde combien je me trouve avilie. »
- Sa souillure est sur sa jupe ; elle ne songeait pas à ce qui s'ensuivrait. Sa déchéance est prodigieuse ; pas de consolateur pour elle. « Vois SEIGNEUR, mon humiliation ; l'ennemi en effet se grandit. »
- Aussi mon coeur sanglote sur Moab, comme sanglotent des flûtes ; mon coeur sanglote sur les gens de Qir-Hèrès, comme sanglotent des flûtes ; ils périssent à cause des gains qu'ils ont réalisés.
- Ephraïm est-il pour moi un fils chéri, un enfant qui fait mes délices ? Chaque fois que j'en parle, je dois encore et encore prononcer son nom ; et en mon coeur, quel émoi pour lui ! Je l'aime, oui, je l'aime — oracle du SEIGNEUR.
- Si je vais aux champs, voilà les victimes de l'épée ; si je rentre dans la ville, voilà ceux que torture la faim. Prophètes et prêtres parcourent le pays sans plus rien comprendre.
- Parle ! Voici l'oracle du SEIGNEUR : les cadavres tombent comme du fumier sur les champs, comme des gerbes derrière le moissonneur et personne ne les ramasse.
- il chante devant les hommes en disant : « J'avais péché, j'avais violé le droit, mais lui ne s'est pas conduit comme moi.
- Comme l'hirondelle ou le passereau, je pépie, je roucoule comme la colombe. Mes yeux levés vers toi n'en peuvent plus : Seigneur, je suis écrasé, interviens pour moi !
- Qui cache ses fautes ne réussira pas, qui les avoue et y renonce obtiendra miséricorde.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV