- Jérusalem se rappelle, en ses jours d'errance et d'humiliation, tous ses charmes ! qui existaient aux jours de l'ancien temps ! Quand son peuple tombe aux mains de l'adversaire et que personne ne vient l'aider, les adversaires la voient : ils rient de son anéantissement. - Lire dans le contexte
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- tu tiens mes paupières ouvertes, je suis troublé, je ne sais que dire :
- Jour et nuit, mes larmes sont mon pain, quand on me dit tous les jours : « Où est ton Dieu ? »
- Nous voici, outragés par nos voisins, la moquerie et la risée de ceux qui nous entourent.
- Le SEIGNEUR ton Dieu te fait entrer dans un bon pays, un pays de torrents, de sources, d'eaux souterraines jaillissant dans la plaine et la montagne,
- Abraham lui dit : “Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu ton bonheur durant ta vie, comme Lazare le malheur ; et maintenant il trouve ici la consolation, et toi la souffrance.
- Rentrant alors en lui-même, il se dit : “Combien d'ouvriers de mon père ont du pain de reste, tandis que moi, ici, je meurs de faim !
- Et maintenant se sont rassemblées contre toi de nombreuses nations, celles qui disent : « Qu'elle soit profanée ; et que nos yeux se repaissent de la vue de Sion. »
- Oui, leur mère s'est prostituée, celle qui les a conçus s'est couverte de honte lorsqu'elle disait : « Je veux courir après mes amants, ceux qui me donnent le pain et l'eau, la laine et le lin, l'huile et les boissons. »
- Nous, nos yeux se consument encore dans l'attente d'une aide illusoire ; à nos postes de guet nous guettons la venue d'une nation qui ne peut pas sauver.
- Ils applaudissent à tes dépens, tous les passants du chemin ; ils sifflent et hochent la tête aux dépens de la Belle Jérusalem : « Est-ce la Ville qu'on devrait dire beauté parfaite, réjouissance pour toute la terre ? »
- Que je chante pour mon ami, le chant du bien-aimé et de sa vigne : Mon bien-aimé avait une vigne sur un coteau plantureux.
- Il proclame sa parole à Jacob, ses décrets et ses commandements à Israël.
- Là, nos conquérants nous ont demandé des chansons, et nos ravisseurs des airs joyeux : « Chantez-nous quelque chant de Sion. »
- Au temps de ma détresse, je cherche le Seigneur. Dans la nuit, les mains tendues sans faiblir, je refuse tout réconfort.
- Qui me fera revivre les lunes d'antan, ces jours où Dieu veillait sur moi,
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