- Crie donc vers le Seigneur, rempart de la fille de Sion ; laisse couler tes larmes comme un torrent jour et nuit ; ne t'accorde pas de relâche, que tes yeux n'aient pas de repos ! - Lire dans le contexte
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- Yahvé a médité d'abattre le rempart de la fille de Sion. Il a étendu le cordeau, ne retirant pas sa main que tout ne soit englouti. Il a endeuillé mur et avant-mur : ensemble ils se désolent.
- C'est pour cela que je pleure ; mes yeux fondent en larmes, car il est loin de moi, le consolateur qui me rendrait la vie. Mes fils sont bouleversés, car l'ennemi est trop fort. »
- Qui me fournira au désert un gîte de voyageurs, que je puisse quitter mon peuple et loin d'eux m'en aller ? Car tous ils sont des adultères, un ramassis de traîtres.
- J'appelle de tout coeur, réponds-moi, Yahvé, je garderai tes volontés.
- Car des murailles mêmes la pierre crie, de la charpente la poutre lui répond.
- Ils ne crient pas vers moi du fond du coeur quand ils se lamentent sur leurs couches ; pour du blé et du vin nouveau, ils se lacèrent, mais ils se rebellent contre moi.
- Mes yeux se fondent en ruisseaux pour le désastre de la fille de mon peuple.
- Elle passe des nuits à pleurer et les larmes couvrent ses joues. Pas un qui la console parmi tous ses amants. Tous ses amis l'ont trahie, devenus ses ennemis !
- Mes yeux ruissellent de larmes, car on n'observe pas ta loi.
- Tu leur diras cette parole : Que mes yeux versent des larmes, jour et nuit sans tarir, car d'une grande blessure est blessée la vierge fille de mon peuple, d'une plaie très grave.
- Si vous n'écoutez pas cet avertissement, je pleurerai en secret pour votre orgueil ; mes yeux laisseront couler des larmes, ils verseront des larmes, car le troupeau de Yahvé part en captivité.
- Vite, qu'elles entonnent sur nous une lamentation ! Que nos yeux versent des larmes, que nos paupières laissent ruisseler de l'eau !
- Oui, j'entends les cris comme d'une femme en travail, c'est comme l'angoisse de celle qui accouche ; ce sont les cris de la fille de Sion qui s'essouffle et qui tend les mains : « Malheur à moi, je succombe sous les coups des meurtriers ! »
- Yahvé, dans la détresse ils t'ont cherché, ils se répandirent en prière car ton châtiment était sur eux.
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