- Mais il répondit à son père: Voici, il y a tant d'années que je te sers, sans avoir jamais contrevenu à ton commandement, et tu ne m'as jamais donné un chevreau pour me réjouir avec mes amis. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Le pharisien se tenant debout, priait ainsi en lui-même: O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ni aussi comme ce péager;
- Pour moi, autrefois sans loi, je vivais; mais le commandement étant venu, le péché a repris vie,
- Où est donc le sujet de se glorifier? Il est exclu. Par quelle loi? Par la loi des ouvres? Non, mais par la loi de la foi.
- Parce que personne ne sera justifié devant lui par les ouvres de la loi; car c'est la loi qui donne la connaissance du péché.
- Car je te craignais, parce que tu es un homme sévère, tu prends où tu n'as rien mis, et tu moissonnes où tu n'as point semé.
- Tu connais les commandements: Tu ne commettras point d'adultère; tu ne tueras point; tu ne déroberas point; tu ne diras point de faux témoignage; honore ton père et ta mère.
- Il dit aussi cette parabole, au sujet des gens persuadés en eux-mêmes qu'ils étaient justes, et qui méprisaient les autres:
- Vous de même, quand vous aurez fait tout ce qui vous est commandé, dites: Nous sommes des serviteurs inutiles, parce que nous n'avons fait que ce que nous étions obligés de faire.
- Je vous dis qu'il y aura de même plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de repentance.
- En disant: Ces derniers n'ont travaillé qu'une heure, et tu les as égalés à nous qui avons supporté le poids du jour et la chaleur.
- Vous avez dit: "C'est en vain qu'on sert Dieu, et qu'avons-nous gagné d'avoir observé ses ordonnances, et d'avoir marché en habits de deuil devant l'Éternel des armées?
- Mais vous le profanez quand vous dites: "La table de l'Éternel est souillée, et ce qu'elle rapporte est un aliment méprisable. "
- Et pour parler aux sacrificateurs de la maison de l'Éternel des armées, et aux prophètes, en ces mots: Dois-je pleurer au cinquième mois, et faire abstinence, comme je l'ai fait pendant tant d'années?
- Qui disent: Retire-toi! ne m'approche pas! car je suis plus saint que toi. Ces choses sont une fumée à mes narines, un feu toujours allumé.
- Car, jour après jour, ils me cherchent et ils veulent connaître mes voies, comme une nation qui aurait pratiqué la justice et n'aurait pas abandonné la loi de son Dieu; ils me demandent des jugements justes, ils veulent s'approcher de Dieu:
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