- mais il répliqua à son père : “Voilà tant d'années que je te sers sans avoir jamais désobéi à tes ordres ; et, à moi, tu n'as jamais donné un chevreau pour festoyer avec mes amis. - Lire dans le contexte
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- Le Pharisien, debout, priait ainsi en lui-même : “O Dieu, je te rends grâce de ce que je ne suis pas comme les autres hommes, qui sont voleurs, malfaisants, adultères, ou encore comme ce collecteur d'impôts.
- Jadis, en l'absence de loi, je vivais. Mais le commandement est venu, le péché a pris vie,
- Y a-t-il donc lieu de s'enorgueillir ? C'est exclu ! Au nom de quoi ? Des oeuvres ? Nullement, mais au nom de la foi.
- Voilà pourquoi personne ne sera justifié devant lui par les oeuvres de la loi ; la loi, en effet, ne donne que la connaissance du péché.
- Car j'avais peur de toi parce que tu es un homme sévère : tu retires ce que tu n'as pas déposé et tu moissonnes ce que tu n'as pas semé.”
- Tu connais les commandements : tu ne commettras pas d'adultère, tu ne commettras pas de meurtre, tu ne voleras pas, tu ne porteras pas de faux témoignage, honore ton père et ta mère. »
- Il dit encore la parabole que voici à certains qui étaient convaincus d'être justes et qui méprisaient tous les autres :
- De même, vous aussi, quand vous avez fait tout ce qui vous était ordonné, dites : “Nous sommes des serviteurs quelconques. Nous avons fait seulement ce que nous devions faire.” »
- Je vous le déclare, c'est ainsi qu'il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de conversion.
- “Ces derniers venus, disaient-ils, n'ont travaillé qu'une heure, et tu les traites comme nous, qui avons supporté le poids du jour et la grosse chaleur.”
- Vous prétendez : « Inutile de servir Dieu ; à quoi bon avoir gardé ses observances et marché dans le deuil devant le SEIGNEUR le tout-puissant ?
- Vous, cependant, vous le profanez en disant : « La table du SEIGNEUR est impure. Son rapport en nourriture est dérisoire. »
- pour poser aux prêtres attachés au temple du SEIGNEUR, le tout-puissant, ainsi qu'aux prophètes la question suivante : « Dois-je pleurer au cinquième mois en m'imposant des privations, comme je l'ai fait depuis tant d'années ? »
- ils disent : « Prends garde à toi, ne m'approche pas, car je te rendrais sacro-saint ! » Ces agissements provoquent en mes narines une fumée, un feu incandescent, à longueur de jour ;
- C'est moi que jour après jour ils consultent, c'est à connaître mes chemins qu'ils mettent leur plaisir, comme une nation qui a pratiqué la justice et n'a pas abandonné le droit de son Dieu. Ils exigent de moi des jugements selon la justice, ils mettent leur plaisir dans la proximité de Dieu :
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV