• Et Abraham répondit: mon fils, souviens-toi que tu as re?u tes biens en ta vie, et que Lazare y a eu ses maux; mais il est maintenant consolé, et tu es gri?vement tourmenté. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Mais malheur ? vous riches; car vous remportez votre consolation.
  • Eternel, délivre-moi par ta main de ces gens, des gens du monde, desquels le partage est en cette vie, et dont tu remplis le ventre de tes provisions; leurs enfants sont rassasiés, et ils laissent leurs restes ? leurs petits enfants.
  • N'aimez point le monde, ni les choses qui sont au monde; si quelqu'un aime le monde, l'amour du P?re n'est point en lui.
  • Et si ton pied te fait broncher, coupe-le: il vaut mieux que tu entres boiteux dans la vie, que d'avoir deux pieds, et ?tre jeté dans la géhenne, au feu qui ne s'éteint point;
  • Desquels la fin est la perdition, desquels le Dieu est le ventre, et desquels la gloire est dans leur confusion, n'ayant d'affection que pour les choses de la terre.
  • Parce que l'affection de la chair est inimitié contre Dieu; car elle ne se rend point sujette ? la Loi de Dieu; et aussi ne le peut-elle point.
  • Fortifiant l'esprit des disciples, et les exhortant ? persévérer en la foi, et leur faisant sentir que c'est par plusieurs afflictions qu'il nous faut entrer dans le Royaume de Dieu.
  • Je vous ai dit ces choses afin que vous ayez la paix en moi; vous aurez de l'angoisse au monde, mais ayez bon courage, j'ai vaincu le monde.
  • Et étant en enfer, et élevant ses yeux, comme il était dans les tourments, il vit de loin Abraham et Lazare dans son sein.
  • Il y avait aussi un pauvre, nommé Lazare, couché ? la porte du riche, et tout couvert d'ulc?res;
  • En cette m?me nuit Belsatsar, Roi de Caldée, fut tué;
  • Zajin. Jérusalem dans les jours de son affliction et de son pauvre état s?est souvenue de toutes ses choses désirables qu?elle avait depuis si longtemps, lorsque son peuple est tombé par la main de l?ennemi, sans qu?aucun la secour?t; les ennemis l?ont vue, et se sont moqués de ses sabbats.
  • Voil?, ceux-ci sont méchants, et étant ? leur aise en ce monde, ils acqui?rent de plus en plus des richesses.
  • Les yeux leur sortent dehors ? force de graisse; ils surpassent les desseins de leur coeur.
  • Res. J'ai vu le méchant terrible, et s'étendant comme un laurier vert;

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