- Heureux, vous qui avez faim maintenant : vous serez rassasiés. Heureux, vous qui pleurez maintenant : vous rirez. - Lire dans le contexte
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- Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice : ils seront rassasiés.
- Heureux les doux : ils auront la terre en partage.
- Heureux l'homme qui endure l'épreuve, parce que, une fois testé, il recevra la couronne de la vie, promise à ceux qui L'aiment.
- Malheureux, vous qui êtes repus maintenant : vous aurez faim. Malheureux, vous qui riez maintenant : vous serez dans le deuil et vous pleurerez.
- O vous tous qui êtes assoiffés, venez vers les eaux, même celui qui n'a pas d'argent, venez ! Demandez du grain, et mangez ; venez et buvez ! — sans argent, sans paiement — du vin et du lait.
- A cette heure encore, nous avons faim, nous avons soif, nous sommes nus, maltraités, vagabonds,
- les affamés, il les a comblés de biens et les riches, il les a renvoyés les mains vides.
- L'Esprit du Seigneur DIEU est sur moi. Le SEIGNEUR, en effet, a fait de moi un messie, il m'a envoyé porter joyeux message aux humiliés, panser ceux qui ont le coeur brisé, proclamer aux captifs l'évasion, aux prisonniers l'éblouissement,
- Moi, et c'est justice, je verrai ta face ; au réveil, je me rassasierai de ton image.
- Ils n'auront plus faim, ils n'auront plus soif, le soleil et ses feux ne les frapperont plus,
- Alors les jeunes filles dansent et elles s'épanouissent, ainsi que les jeunes gens et les vieillards. Je change leur deuil en joie, je les réconforte, je fais s'épanouir les affligés.
- Ils arrivent tout en pleurs, ils crient : « Grâce ! » et je les pousse : je les dirige vers des vallées bien arrosées par un chemin uni où ils ne trébuchent pas. Oui, je deviens un père pour Israël, Ephraïm est mon fils aîné.
- Oui, peuple de Sion, qui habites à Jérusalem, tu ne pleureras plus. Quand tu crieras, il te fera grâce. A peine aura-t-il entendu qu'il aura répondu.
- Jésus leur dit : « C'est moi qui suis le pain de vie ; celui qui vient à moi n'aura pas faim ; celui qui croit en moi jamais n'aura soif.
- Mieux vaut aller à la maison de deuil qu'à la maison du banquet ; puisque c'est la fin de tout homme, il faut que les vivants y appliquent leur coeur.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV