- Quand il fut près de la porte de la ville, voilà qu'on portait en terre un mort, un fils unique dont la mère était veuve ; et il y avait avec elle une foule considérable de la ville. - Lire dans le contexte
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- parce qu'il avait une fille unique, âgée d'environ douze ans, qui se mourait. Et comme il s'y rendait, les foules le serraient à l'étouffer.
- Lui prenant la main, Pierre la fit lever. Appelant alors les saints et les veuves, il la leur présenta vivante.
- Pierre partit tout de suite avec eux. Aussitôt arrivé, on le fit monter à la chambre haute, où toutes les veuves en pleurs s'empressèrent autour de lui, lui montrant les tuniques et les manteaux que faisait Dorcas lorsqu'elle était avec elles.
- et beaucoup d'entre les Juifs étaient venus auprès de Marthe et de Marie pour les consoler au sujet de leur frère.
- Tous pleuraient et se frappaient la poitrine à cause d'elle. Mais il dit : « Ne pleurez pas, elle n'est pas morte, mais elle dort. »
- Mais je répandrai sur la maison de David et sur l'habitant de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, et ils regarderont vers moi. Celui qu'ils ont transpercé, ils se lamenteront sur lui comme on se lamente sur un fils unique ; ils le pleureront
- La bénédiction du mourant se posait sur moi et je rendais la joie au coeur de la veuve.
- Celui-ci le prit et le conduisit à sa mère ; il resta sur ses genoux jusqu'à midi et il mourut.
- « A cette saison, l'an prochain, dit-il, tu tiendras un fils dans tes bras. » Mais elle dit : « Non, Monseigneur, ne trompe pas ta servante ! »
- Élie le prit, le descendit de la chambre haute dans la maison et le remit à sa mère ; et Élie dit : « Voici, ton fils est vivant. »
- Alors elle dit à Élie : « Qu'ai-je à faire avec toi, homme de Dieu ? Tu es donc venu chez moi pour rappeler mes fautes et faire mourir mon fils ! »
- Elle répondit : « Par Yahvé vivant, ton Dieu ! je n'ai pas de pain cuit ; je n'ai qu'une poignée de farine dans une jarre et un peu d'huile dans une cruche, je suis à ramasser deux bouts de bois, je vais préparer cela pour moi et mon fils, nous mangerons et nous mourrons. »
- « Lève-toi et va à Sarepta, qui appartient à Sidon, et tu y demeureras. Voici que j'ordonne là-bas à une veuve de te donner à manger. »
- Voilà que tout le clan s'est dressé contre ta servante et dit : "Livre le fratricide : nous le mettrons à mort pour prix de la vie de son frère qu'il a tué, et nous détruirons en même temps l'héritier." Ils vont ainsi éteindre la braise qui me reste, pour ne plus laisser à mon mari ni nom ni survivant sur la face de la terre. »
- L'Ange dit : N'étends pas la main contre l'enfant ! Ne lui fais aucun mal ! Je sais maintenant que tu crains Dieu : tu ne m'as pas refusé ton fils, ton unique.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV