- Si vous aviez compris ce que signifie : C'est la miséricorde que je veux, non le sacrifice, vous n'auriez pas condamné ces hommes qui ne sont pas en faute. - Lire dans le contexte
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- Allez donc apprendre ce que signifie : C'est la miséricorde que je veux, non le sacrifice. Car je suis venu appeler non pas les justes, mais les pécheurs. »
- Car c'est l'amour qui me plaît, non le sacrifice ; et la connaissance de Dieu, je la préfère aux holocaustes.
- Avec quoi me présenter devant le SEIGNEUR, m'incliner devant le Dieu de là-haut ? Me présenterai-je devant lui avec des holocaustes ? Avec des veaux d'un an ?
- Vous avez condamné, vous avez assassiné le juste : il ne vous résiste pas.
- La population de Jérusalem et ses chefs ont méconnu Jésus ; et, en le condamnant, ils ont accompli les paroles des prophètes qu'on lit chaque sabbat.
- Jésus leur répondit : « Vous êtes dans l'erreur, parce que vous ne connaissez ni les Ecritures ni la puissance de Dieu.
- Que me fait la multitude de vos sacrifices, dit le SEIGNEUR ? Les holocaustes de béliers, la graisse des veaux, j'en suis rassasié. Le sang des taureaux, des agneaux et des boucs, je n'en veux plus.
- Justifier un coupable ou faire passer pour coupable un juste sont tous deux en horreur au SEIGNEUR.
- Car il se tient à la droite du pauvre pour le sauver de ses juges.
- Ils s'attaquent à la vie du juste, ils déclarent coupable une victime innocente.
- Il se mit en colère aussi contre ses trois amis parce qu'ils n'avaient plus trouvé de réponse et avaient ainsi reconnu Dieu coupable.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV