- ""Ces derniers venus n'ont fait qu'une heure, et tu les as traités comme nous, qui avons porté le fardeau de la journée, avec sa chaleur." " - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Et lorsque c'est le vent du midi qui souffle, vous dites qu'il va faire chaud, et c'est ce qui arrive.
- Le soleil brûlant s'est levé : il a desséché l'herbe et sa fleur tombe, sa belle apparence est détruite. Ainsi se flétrira le riche dans ses démarches !
- Jusqu'à l'heure présente, nous avons faim, nous avons soif, nous sommes nus, maltraités et errants ;
- Ainsi pareillement aujourd'hui il subsiste un reste, élu par grâce.
- Frères, certes l'élan de mon coeur et ma prière à Dieu pour eux, c'est qu'ils soient sauvés.
- Que conclure ? Que des païens qui ne poursuivaient pas de justice ont atteint une justice, la justice de la foi,
- puisqu'il n'y a qu'un seul Dieu, qui justifiera les circoncis en vertu de la foi comme les incirconcis par le moyen de cette foi.
- Où donc est le droit de se glorifier ? Il est exclu. Par quel genre de loi ? Celle des oeuvres ? Non, par une loi de foi.
- justice de Dieu par la foi en Jésus Christ, à l'adresse de tous ceux qui croient - car il n'y a pas de différence :
- Le Pharisien, debout, priait ainsi en lui-même : "Mon Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont rapaces, injustes, adultères, ou bien encore comme ce publicain ;
- Mais il répondit à son père : "Voilà tant d'années que je te sers, sans avoir jamais transgressé un seul de tes ordres, et jamais tu ne m'as donné un chevreau, à moi, pour festoyer avec mes amis ;
- Au contraire, lorsque tu es invité, va te mettre à la dernière place, de façon qu'à son arrivée celui qui t'a invité te dise : "Mon ami, monte plus haut." Alors il y aura pour toi de l'honneur devant tous les autres convives.
- - Vous dites : C'est vanité de servir Dieu, et que gagnons-nous à avoir gardé ses observances et marché dans le deuil devant Yahvé Sabaot ?
- Vous dites : Voyez, que de souci ! et vous me dédaignez, dit Yahvé Sabaot. Vous amenez l'animal dérobé, le boiteux et le malade, et vous l'amenez en offrande. Puis-je l'agréer de votre main ? dit Yahvé Sabaot.
- et dire aux prêtres de Yahvé Sabaot ainsi qu'aux prophètes : « Dois-je pleurer au cinquième mois en faisant des abstinences comme j'ai fait déjà tant d'années ? »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV