• Elle verra bien, mon ennemie, elle en sera couverte de honte ; elle qui me disait : « Où est-il le SEIGNEUR ton Dieu ? » Mes yeux la contempleront. Elle va être piétinée, comme la boue des rues. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Qu'entre le porche et l'autel pleurent les prêtres, ministres du SEIGNEUR. Qu'ils disent : « SEIGNEUR, aie pitié de ton peuple ; ne fais pas de ton patrimoine un opprobre pour que les nations se moquent d'eux ! Pourquoi dirait-on parmi les peuples : Où est leur Dieu ? »
  • pareils à des héros, ils combattront, foulant la boue des rues. Ils lutteront, car le SEIGNEUR sera avec eux, et les cavaliers sur leur monture seront couverts de honte.
  • J'en fais de la poussière, je les écrase, je les piétine comme la boue des rues.
  • Je veux dire à Dieu mon rocher : « Pourquoi m'as-tu oublié ? Pourquoi m'en aller, lugubre et pressé par l'ennemi ? »
  • Qu'ensemble ils rougissent de honte, ceux qui se réjouissaient de mon malheur ! Qu'ils soient vêtus de honte et de déshonneur, ceux qui triomphaient de moi !
  • Et maintenant se sont rassemblées contre toi de nombreuses nations, celles qui disent : « Qu'elle soit profanée ; et que nos yeux se repaissent de la vue de Sion. »
  • Ils crient, mais nul ne secourt ; ils crient vers le SEIGNEUR, mais il ne répond pas.
  • Avant que vos marmites ne sentent la flambée d'épines, aussi vif que la colère, il les balayera.
  • Fille de Babylone, promise au ravage, heureux qui te traitera comme tu nous as traités !
  • « Vous parlerez ainsi à Ezékias, roi de Juda : Que ton Dieu en qui tu mets ta confiance ne t'abuse pas en disant : “Jérusalem ne sera pas livrée aux mains du roi d'Assyrie.”
  • Pourquoi les nations disent-elles : « Où donc est leur Dieu ? »
  • Affale-toi sans dire un mot, entre dans les ténèbres, fille des Chaldéens, car plus jamais tu n'obtiendras que l'on t'appelle « Dominatrice des royaumes ».
  • Ainsi parle ton Maître, le SEIGNEUR, ton Dieu, qui épouse la querelle de son peuple : Voici que j'ai retiré de ta main le calice du vertige, la coupe du calice de ma fureur désormais tu n'auras plus à la boire.
  • — Pourquoi y a-t-il du rouge à ton vêtement, pourquoi tes habits sont-ils comme ceux d'un fouleur au pressoir ?
  • Ainsi parle le SEIGNEUR le tout-puissant : Ils sont brutalisés, Israélites et Judéens, sans distinction. Leurs ravisseurs les tiennent ; ils refusent de les lâcher.

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV