- Je dois porter la colère de Yahvé, puisque j'ai péché contre lui, jusqu'à ce qu'il juge ma cause et me fasse justice ; il me fera sortir à la lumière, et je contemplerai ses justes oeuvres. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- il produira ta justice comme le jour, comme le midi ton droit.
- Après qui le roi d'Israël s'est-il mis en campagne, après qui cours-tu ? Après un chien crevé, après une simple puce !
- Ainsi donc, ne portez pas de jugement prématuré. Laissez venir le Seigneur ; c'est lui qui éclairera les secrets des ténèbres et rendra manifestes les desseins des coeurs. Et alors chacun recevra de Dieu la louange qui lui revient.
- Par là se manifeste le juste jugement de Dieu, où vous serez trouvés dignes du Royaume de Dieu pour lequel vous souffrez vous aussi.
- « Yahvé, lui, est juste, car à ses ordres je fus rebelle. Écoutez donc, tous les peuples, et voyez ma douleur. Mes vierges et mes jeunes gens sont partis en captivité. .
- « Sur Babylone la violence et les blessures que j'ai subies ! » dit l'habitante de Sion. « Sur les habitants de Chaldée mon sang ! » dit Jérusalem.
- Ainsi parle Yahvé Sabaot : Les enfants d'Israël sont opprimés et les enfants de Juda avec eux, tous ceux qui les ont faits captifs les tiennent, ils refusent de les lâcher.
- Israël était une brebis égarée que pourchassaient des lions. Le premier qui le dévora fut le roi d'Assur et celui qui, le dernier, lui brisa les os, ce fut Nabuchodonosor, roi de Babylone.
- j'ai fait venir ma justice, elle n'est pas loin, mon salut ne tardera pas. Je mettrai en Sion le salut, je donnerai à Israël ma gloire.
- Juge-moi, Dieu, défends ma cause contre des gens sans amour ; de l'homme perfide et pervers, délivre-moi.
- que l'ennemi poursuive mon âme et l'atteigne ! Qu'il écrase ma vie contre terre et relègue mes entrailles dans la poussière !
- Et pourtant, la voie qui est la mienne, il la connaît ! Qu'il me passe au creuset : or pur j'en sortirai !
- Quand David vit l'ange qui frappait le peuple, il dit à Yahvé : « C'est moi qui ai péché, c'est moi qui ai commis le mal, mais ceux-là, c'est le troupeau, qu'ont-ils fait ? Que ta main s'appesantisse donc sur moi et sur ma famille ! »
- David dit à Abishaï et à tous ses officiers : « Voyez : le fils qui est sorti de mes entrailles en veut à ma vie. A plus forte raison maintenant ce Benjaminite ! Laissez-le maudire, si Yahvé le lui a commandé.
- Ayant appris que Nabal était mort, David dit : « Béni soit Yahvé qui m'a rendu justice pour l'injure que j'avais reçue de Nabal et qui a retenu son serviteur de commettre le mal. Yahvé a fait retomber la méchanceté de Nabal sur sa propre tête. » David envoya demander Abigayil en mariage.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV