- Je donnai l'ordre de placer sur Jérusalem mon frère Hanani, et Hananya chef de la citadelle, car il était un homme fidèle qui craignait Dieu, plus que beaucoup d'autres. - Lire dans le contexte
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- Hanani, l'un de mes frères, vint de Juda, lui et quelques hommes, et je les interrogeai au sujet des Juifs réchappés, le reste survivant de la captivité, et au sujet de Jérusalem.
- et aussi une lettre pour Asaf, garde de la forêt du roi, afin qu'il me donne le bois pour construire les portes de la citadelle proche de la Maison et pour les murailles de la ville, ainsi que pour la maison où je me rendrai. » Le roi me donna ces lettres, car la bonne main de mon Dieu était sur moi.
- Pelatya, Hanân, Anaya,
- Akhab appela Ovadyahou qui était chef du palais. — Or Ovadyahou craignait beaucoup le SEIGNEUR ;
- Or, ce qu'on demande en fin de compte à des intendants, c'est de se montrer fidèles.
- « Celui qui est digne de confiance pour une toute petite affaire est digne de confiance aussi pour une grande ; et celui qui est trompeur pour une toute petite affaire est trompeur aussi pour une grande.
- Son maître lui dit : “C'est bien, bon et fidèle serviteur, tu as été fidèle en peu de choses, sur beaucoup je t'établirai ; viens te réjouir avec ton maître.”
- « Quel est donc le serviteur fidèle et avisé que le maître a établi sur les gens de sa maison pour leur donner la nourriture en temps voulu ?
- Or ce Daniel l'emportait sur les ministres et les satrapes, car il avait en lui un esprit extraordinaire, et le roi projeta de l'établir sur tout le royaume.
- Le SEIGNEUR est exalté, car il réside sur les hauteurs, il remplit Sion de droit et de justice.
- Je distinguerai les hommes sûrs du pays pour qu'ils siègent à mes côtés. Celui qui a une conduite intègre, celui-là sera mon ministre.
- Je donnai l'ordre de placer ces réserves sous la garde du prêtre Shèlèmya, du scribe Sadoq et de Pedaya, l'un des lévites, avec à côté d'eux Hanân, fils de Zakkour, fils de Mattanya, car ils étaient considérés comme des hommes fidèles. C'est à eux qu'il revenait de faire la répartition à leurs frères.
- Avant moi, les premiers gouverneurs écrasaient le peuple et leur prenaient du pain et du vin et, en plus, quarante sicles d'argent. Leurs serviteurs aussi exerçaient leur domination sur le peuple. Mais moi-même, je n'ai pas agi ainsi, par crainte de Dieu.
- Mais, dès que je t'aurai quitté, l'esprit du SEIGNEUR t'emportera je ne sais où ; et moi j'irai aviser Akhab qui ne te trouvera pas, et alors il me tuera. Pourtant ton serviteur craint le SEIGNEUR depuis sa jeunesse.
- Il n'en va pas de même pour mon serviteur Moïse, lui qui est mon homme de confiance pour toute ma maison :
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