- Caleb fit taire le peuple qui s'opposait à Moïse : « Allons-y ! dit-il, montons et emparons-nous du pays ; nous arriverons certainement à le soumettre. » - Lire dans le contexte
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- Mais mon serviteur Caleb, parce qu'un autre esprit l'anime et qu'il m'a suivi sans hésitation, je le mènerai dans le pays où il est allé : ses descendants en prendront possession,
- eux qui, grâce à la foi, conquirent des royaumes, mirent en oeuvre la justice, virent se réaliser des promesses, muselèrent la gueule des lions,
- Je peux tout en celui qui me rend fort.
- Mais en tout cela, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés.
- Que dire de plus ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ?
- ne crains pas car je suis avec toi, n'aie pas ce regard anxieux, car je suis ton Dieu. Je te rends robuste, oui, je t'aide, oui, je te soutiens par ma droite qui fait justice.
- Toutes les nations m'avaient encerclé : au nom du SEIGNEUR, je les pourfendais.
- sinon toi, le Dieu qui nous a rejetés, le Dieu qui ne sortait plus avec nos armées ?
- De David. Le SEIGNEUR est ma lumière et mon salut, de qui aurais-je peur ? Le SEIGNEUR est la forteresse de ma vie, devant qui tremblerais-je ?
- Les fils de Juda vinrent trouver Josué à Guilgal et Caleb, fils de Yefounnè, le Qenizzite, lui dit : « Tu sais bien ce que le SEIGNEUR a dit à Moïse, l'homme de Dieu, à mon sujet et à ton sujet à Qadesh-Barnéa.
- Josué, fils de Noun, et Caleb, fils de Yefounnè, qui avaient pris part à l'exploration du pays, déchirèrent leurs vêtements.
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